Antibes_066_f_027_

: Commecomme la contemplation d’un principe intérieur qui anime les êtres, la vie comme puissance supérieure à l’existence matérielle. ilIl n’y a rien alors de symbolique parce que l’Animalanimal vivant, Apis par exemple, est réellement adoré comme l’existence divine. Mais les Égyptiens ont aussi employé la forme des Animauxanimaux symboliquement. : masques d’animaux sur des têtes d’hommes, surtout dans les cérémonies d’enterrement.,têtes hommes avec des têtes d’épervier – les têtes d’Ammon ont conservé leurs cornes. Réf. bibl.
: vV.Voir p.page 96 ce qu’il dit sur les Memmon Memnon et sur leur voix. d’abordD'abord il n’y en avait qu’un. Voyez à ce propos un article curieux sur le cours de MrM.Monsieur LetroneLetronne, année 1842, Revue des deux MondesRevue des deux Mondes.1 Réf. bibl.
: Isis et OzirisOsiris – signes le Zodiaque –. (pp.pages 96-98)
: lesLes Ouvragesouvrages égyptiens forment une vaste énigme, l’énigme par excellence. leLe symbole de ce Caractèrecaractère propre de l’esprit égyptien, c’est le sphinx. leLe sphinx est en même temps le symbole du symbolisme même. (pp.pages 100-101)

Notes

1La rature de l'ajout supralinéaire "sur le cours" rend fausse la référence bibliographique de Flaubert. En effet, est ici visé un article d'Adolphe Lèbre, « Des études égyptiennes en France », dont le point de départ est le cours au Collège de France professé par Letronne. Il a été publié dans le numéro du 15 juillet 1842 (p. 294-324, voir dans la bibliothèque du site) de la Revue des deux mondes. L'épisode concernant la statue de Memnon se trouve aux p. 322-323.

f°026 - Verso | f°027 - Recto Cote Antibes - vol. 066 - f°027 - Verso - f°028 - Recto | f°028 - Verso

Notes