- comme la contemplation d’un principe intérieur qui
anime les ĂŞtres, la vie comme puissance supĂ©rieure Ă
l’existence matérielle. Il n’y a rien alors de symbolique
parce que l’animal vivant, Apis par exemple,
est réellement adoré comme l’existence divine.
Mais les Égyptiens ont aussi employé la forme
des animaux symboliquement : masques d’animaux
sur des têtes d’hommes, surtout dans les cérémonies
d’enterrement, hommes avec des têtes d’épervier –
les têtes d’Ammon ont conservé leurs cornes. Réf. bibl.
- V. p. 96 ce qu’il dit sur les Memnon et
sur leur voix. D'abord il n’y en avait qu’un. Voyez à ce propos un
article curieux de M. Letronne, année 1842, Revue des deux
Mondes.1 Â RĂ©f. bibl.
-
Isis et Osiris – le Zodiaque. (p. 96-98)
- Les ouvrages égyptiens forment une vaste énigme, l’énigme par excellence. Le symbole de ce caractère propre de l’esprit égyptien, c’est le sphinx. Le sphinx est en même temps le symbole du symbolisme même. (p. 100-101)