Chapitre troisième
De la Symbolique réfléchie
ou
de la forme de l’art dont la base
est la comparaison
- 2930.
-
Ce qui distingue le sublime du symbole proprement
dit c’est d’abord la séparation formelle de l’esprit
et de la réalité visible ; ensuite la disproportion
qui éclate entre les deux principes. cette séparation
dont le principe est renfermé dans le symbole
mĂŞme doit aussi trouver sa place dans le
développement de l’art -
ici dans la forme symbolique réfléchie
ce n’est plus l’absolu qu’exprime la forme. la réalité
concrète et l’idée sont bien comparées, mais elles sont
distinctes dans la pensée de l’artiste – l’idée est bien
posée comme distincte de la forme sensible qui
la représente. « aussi maintenant les idées représentées
étant empruntées au cercle du fini n’ont plus