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Cote : Antibes_066_f_030__r | ID_folio : 3673 | ID_Transcription : 3670 | ID_Image : 14532

Chapitre troisième
De la symbolique réfléchie ou de la forme de l’art dont la base est la comparaison

2930.
Ce qui distingue le sublime du symbole proprement dit, c’est d’abord la séparation formelle de l’esprit et de la réalité visible ; ensuite, la disproportion qui éclate entre les deux principes. Cette séparation dont le principe est renfermé dans le symbole même doit aussi trouver sa place dans le développement de l’art.Réf. bibl.
Ici dans la symbolique réfléchie ce n’est plus l’absolu qu’exprime la forme. La réalité concrète et l’idée sont bien comparées, mais elles sont distinctes dans la pensée de l’artiste ; l’idée est bien posée comme distincte de la forme sensible qui la représente. « Aussi, maintenant, les idées représentées étant empruntées au cercle du fini, n’ont plus

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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Titre de la page : Chapitre troisième
De la symbolique réfléchie ou de la forme de l’art dont la base est la comparaison

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