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Cote : Antibes_066_f_030__v | ID_folio : 3674 | ID_Transcription : 3671 | ID_Image : 14535
de rapport avec l’idée de l’absolu, du principe universel des choses. Réf. bibl.
Dans la poésie sacrée, au contraire, l’idée de Dieu est la seule qui ait un sens par elle-même, et les êtres créés sont, en face de lui, des existences passagères, un pur néant.
Ici, chaque image au lieu de représenter véritablement l’objet ou l’idée en eux-mêmes et dans leur réalité, ne doit fournir qu’une ressemblance et une comparaison.
RĂ©f. bibl.

I. Comparaisons dont le point de départ est dans l’élément extérieur

I. La fable
Sur Ésope : « Ses idées ne sont que des traits d’esprit, sans énergie ni profondeur, sans inspiration, sans poésie ni philosophie. Ses réflexions et ses enseignements sont pleins de sens et de sagesse ; mais ils ont quelque chose de recherché et d’étroit. » Réf. bibl.
Le genre en soi est prosaïque ; il dépoétise la nature qui n’est plus vue que comme applicable.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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