- de rapport avec l’idée de l’absolu, du principe
universel des choses. RĂ©f. bibl.
- Dans la poésie sacrée,
au contraire, l’idée de Dieu est la
seule qui
ait un sens par elle-même, et les êtres créés
sont, en face de lui, des existences
passagères,
un pur néant.
Ici, chaque image au lieu de représenter véritablement l’objet ou l’idée en eux-mêmes et dans leur réalité, ne doit fournir qu’une ressemblance et une comparaison. Réf. bibl.
I. Comparaisons dont le point de départ est dans l’élément extérieur
- I. La fable
- Sur Ésope : « Ses idées ne sont que des
traits d’esprit, sans énergie ni
profondeur,
sans inspiration, sans poésie ni philosophie. Ses
réflexions et ses enseignements sont pleins
de sens et de sagesse ; mais ils ont quelque chose
de recherché et d’étroit. » Réf. bibl.
- Le genre en soi est prosaïque ; il dépoétise la nature qui n’est plus vue que comme applicable.