- dans un but immoral, pour tromper. RĂ©f. bibl.
- Formes mixtes, mélange de la forme animale et
de la forme
humaine – mais l’animalité est là comme quelque chose d’inférieur à l’esprit, de dégradé (en Égypte,
le bouc Mendès est vénéré comme Dieu, il représente le
principe générateur de la nature et principalement le soleil).Réf. bibl.
-
Faunes – mais sauf les petites oreilles, les cornes et les pattes,
tout le reste appartient Ă la nature humaine.RĂ©f. bibl.
- Partout donc, selon Hegel, la forme animale est
employée pour exprimer ce qui est mauvais en soi, et
méprisable tandis qu’ailleurs elle était l’expression du
bien
et de l’absolu. Réf. bibl.
II. Combat des anciens et des nouveaux dieux
- Le second progrès de l’art classique, c’est que les dieux
se manifestent avec les mĂŞmes attributs, la conscience et
la
volonté, comme puissances spirituelles. Ils apparaissent
sous la forme humaine, non seulement la forme extérieure
mais en tant que le
fond lui-même est l’homme et
sa nature intime, comme hommes eux-mĂŞmes, comme
personnalités. Réf. bibl.
- C’est la vraie personnalité qui constitue