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Cote : Antibes_066_f_039__r | ID_folio : 3691 | ID_Transcription : 3688 | ID_Image : 14586
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faiblesse a disparu toute particularité arbitraire
qui pourrait la souiller est effacée - Dans sa pureté
sans tache elle répond au principe spirituel et
divin qui doit s’incarner en elle. voyez toute la
page 310

– buste de Goethe – admiration constante de
Goethe dans Hegel
.

« la forme des Dieux est identifiée
avec leur nature spirituelle ; elle en est inséparable – la
distinction entre ce qui est libre et fort et ce qui
est faible n’existe pas. l’esprit ne se dérobe pas
au corps, ne le dépasse pas. tous deux forment une
indestructible harmonie qui permet à l’esprit dans son
indépendance absolue de conserver une merveilleuse
sérénité.

Tristesse des Dieux. ils ne peuvent pas se laisser aller
Ă  la joie, Ă  la jouissance ni Ă  la satisfaction en
particulier
  voy   p  312.

de là vient le froid – surtout comparé
à l’agitation moderne « on lit dans leurs traits le destin
qui pèse sur leurs têtes et qui à mesure que
sa puissance s’accroît faisant éclore de plus en plus
cette contradiction entre la grandeur morale et la
réalité sensible entraîne l’art classique à sa
ruine. »

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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