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- faiblesse a disparu, toute particularité arbitraire
qui
pourrait la1 souiller est effacée - . Dans sa pureté
sans tache, elle répond au principe
spirituel et
divin qui doit s’incarner en elle. voyezVoyez toute la
page 310.Réf. bibl.
- busteBuste de Goethe – admiration constante de
Goethe dans Hegel. Réf. bibl.
- laLa forme des Dieuxdieux est identifiée
avec leur nature spirituelle ; elle en est inséparable – ; la
distinction entre ce qui est libre et fort et ce qui
est faible n’existe pas. l’espritL'esprit ne se dérobe pas
au corps, ne le dépasse pas. tousTous deux forment une
indestructible harmonie qui permet à l’esprit dans son
indépendance absolue
de conserver une merveilleuse
sérénité. Réf. bibl.
- Tristesse des Dieux. ilsIls ne peuvent pas se laisser aller
Ă la joie, Ă la jouissance, ni Ă la satisfaction en
particulier. voyVoyez pp.page 312.
- deDe là vient le froid – surtout comparé à l’agitation moderne : « onOn lit dans leurs traits le destin qui pèse sur leurs têtes, et qui, à mesure que sa puissance s’accroît, faisant éclore de plus en plus cette contradiction entre la grandeur morale et la réalité sensible, entraîne l’art classique à sa ruine. » Réf. bibl.