troisième section. De la Forme romantique
de l’art
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L’union de l’esprit et de la forme sous la réalité sensible
contredit par là même la véritable conception de l’esprit.
l’esprit a pour essence la conformité de lui-même avec
lui-même, l’unité de son idée et de sa réalisation.
il ne peut donc trouver de réalité qui lui corresponde
que dans son monde propre, dans le monde de
la conscience. -
I. Le dĂ©veloppement de l’esprit s’élevant jusqu’Ă
lui-mĂŞme, trouvant en lui ce qu’il cherchait jusqu’Ă
auparavant dans le monde sensible constitue le principe
fondamental de l’art romantique -
Mais dès lors l’esprit
sent que sa vraie nature ne consiste pas à s’absorber
dans la forme corporelle la forme est devenue qq chose
de subalterne, de tout extérieur,c’est de la beauté spirituelle
de la beauté latente résidant au fond de l’âme qui
est devenue la chose principale, l’élément suprême