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Cote : Antibes_066_f_045__r | ID_folio : 3703 | ID_Transcription : 3700 | ID_Image : 14622
4445.
Le dieu de l’art romantique au contraire est un dieu qui voit et qui ouvre les profondeurs de sa nature intime.Réf. bibl.
De ce principe de la subjectivité absolue, Dieu lui-même se fait homme ; sa vie, sa naissance, sa mort, sa résurrection manifestent à la conscience individuelle la destinée de l’esprit, la nature de l’éternel, et l’infini dans sa vérité.Réf. bibl.
2° L'homme doit ressembler à Dieu, dépouiller sa nature finie, devenir ce que Dieu, dans sa vie mortelle, a donné à contempler comme la vérité même. Cette idée du sacrifice trouve ici sa place pour la première fois.Réf. bibl.
« Chez les Grecs, on ne peut pas dire que la mort ait été comprise dans sa signification essentielle ; le corps et l’âme, dans leur union actuelle, n’étaient pas regardés comme une existence négative. Aussi, la mort n’était qu’un simple passage à un autre mode d’existence, sans effroi, sans terreurs. C’était une terminaison naturelle sans autres suites incommensurables pour l’individu mourant. » Mais ici c’est une mort de l’âme qui peut se trouver exclue pour toujours du bonheur, être malheureuse pour toujours du malheur éternel. Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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