- chez les Dans l’antiquité, l’immortalité n’a rien
de
sérieux. Voir Achille dans l’Odyssée. (vV.Voir p.pages 382-391)Réf. bibl.
-
Mais dans l’art romantique au contraire, c’est lĂ
le seuil de la vraie vie – : amour de la mort, amour
profond qui est un des traits gds traitstraits de l'art
romantique ;. amourAmour de la mort prpour la beauté de
la mort – n’est-ce pas la seule idée complète ?
laLa personne de l’artiste elle-même en est si pénétrée
parfois que ça devient une passion, : Goethe,
Chateaubriand dans leur jeunesse ? Les anciensAnciens qui
se tuaient au contraire, c’était prpour se débarrasser
de la vie, et non pas par appétit de l’infini.Réf. bibl.
- 3° vieVie humaine en dehors du cercle religieux – ici, tout
porte
un caractère fini : intérêts -, passions, souffrances
&et joie.
RĂ©f. bibl.
- III. v.voir pp.pages 381-389 Réf. bibl.