fermer

f°044 - Verso | f°045 - Recto  << Cote Antibes - vol. 066 - f°045 - Verso -  >> f°046 - Recto | f°046 - Verso

Cote : Antibes_066_f_045__v | ID_folio : 3704 | ID_Transcription : 3701 | ID_Image : 14625
Dans l’antiquité, l’immortalité n’a rien de sérieux. Voir Achille dans l’Odyssée. (V. p. 382-391)Réf. bibl.
Mais dans l’art romantique au contraire, c’est là le seuil de la vraie vie : amour de la mort, amour profond qui est un des traits de l'art romantique. Amour de la mort pour la beauté de la mort – n’est-ce pas la seule idée complète ? La personne de l’artiste elle-même en est si pénétrée parfois que ça devient une passion : Goethe, Chateaubriand dans leur jeunesse ? Les Anciens qui se tuaient au contraire, c’était pour se débarrasser de la vie, et non pas par appétit de l’infini.Réf. bibl.
3° Vie humaine en dehors du cercle religieux – ici, tout porte un caractère fini : intérêts, passions, souffrances et joie. Réf. bibl.
III. v. p. 381-389 Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

Page de notes de lecture

Si vous avez relevé une erreur de transcription ou de normalisation, si vous pensez avoir déchiffré un mot illisible, prenez contact avec nous :