Chapitre I. Cercle religieux de l’art romantique
- 4546.
- Dans l’idéal classique, le principe divin apparaît sous la forme
exclusive de l’individualité. Mais ce principe ne se dédouble
pas, il ne paraît pas d’un côté comme l’être universel
et de
l’autre comme une manifestation individuelle sous
la forme humaine. RĂ©f. bibl.
- Dans l’art romantique, au contraire,
cette opposition entre l’existence personnelle et la substance
universelle est la condition de la subjectivité absolue.Réf. bibl.
-
La beauté grecque, c’est l’âme identifiée
avec la forme
corporelle. RĂ©f. bibl.
- Ici l’âme s’en détache, vit retirée en elle-même,
le corps peut donc exprimer tout autre chose que
l’esprit. Il trahit l’insuffisance de sa nature
d’où il résulte que l’art se donne peu de souci de
la
forme extérieure. Réf. bibl.
- Dans l’art classique, la divinité
quoique sous la forme humaine n’est pas un homme, elle
est
affranchie de sa misère, exempte de ses soucis. Réf. bibl.
- Mais dans l’art romantique, Dieu s’étant fait