- Ils marquent la transition nécessaire de la mysticité
religieuse Ă la vie mondaine proprement dite. Ici
l’art peut manifester sa libre beauté.
Ici différence radicale d’avec le classique, c’est que l’homme
ici agit pour lui, de lui-même. Sa personnalité est libre
et forte – le monde est son théâtre. Réf. bibl.
-
Dans l’art classique, il y avait une base, c’était la mythologie
et l’État.
Ici l’individu se développe seul, et libre dans la
vie humaine. RĂ©f. bibl.
- Sentiment inconnu dans l’antiquité – opinion que
l’homme a de lui-même dans l’art romantique.Réf. bibl.
-
Caractère accidentel qui en résulte dans les représentations
de l’art.Réf. bibl.
- « Dans l’honneur, nous n’avons pas seulement l’énergie
de la
volonté et la spontanéité dans les décisions ; l’indépendance
personnelle est ici liée à l’idée de soi-même,
et cette idée constitue précisément l’essence propre de
l’honneur. » Réf. bibl.
- L'honneur est la personnalité libre repliée sur elle-même et qui, absorbée par cet unique sentiment qui est son essence, s’inquiète peu si