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Cote : Antibes_066_f_048__v | ID_folio : 3710 | ID_Transcription : 3707 | ID_Image : 14643
Ils marquent la transition nécessaire de la mysticité religieuse à la vie mondaine proprement dite. Ici l’art peut manifester sa libre beauté. Ici différence radicale d’avec le classique, c’est que l’homme ici agit pour lui, de lui-même. Sa personnalité est libre et forte – le monde est son théâtre. Réf. bibl.
Dans l’art classique, il y avait une base, c’était la mythologie et l’État. Ici l’individu se développe seul, et libre dans la vie humaine. Réf. bibl.
I. L'honneur
Sentiment inconnu dans l’antiquité – opinion que l’homme a de lui-même dans l’art romantique.Réf. bibl.
Caractère accidentel qui en résulte dans les représentations de l’art.Réf. bibl.
« Dans l’honneur, nous n’avons pas seulement l’énergie de la volonté et la spontanéité dans les décisions ; l’indépendance personnelle est ici liée à l’idée de soi-même, et cette idée constitue précisément l’essence propre de l’honneur. » Réf. bibl.
L'honneur est la personnalité libre repliée sur elle-même et qui, absorbée par cet unique sentiment qui est son essence, s’inquiète peu si

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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