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Cote : Antibes_066_f_050__r | ID_folio : 3713 | ID_Transcription : 3710 | ID_Image : 14652
4950.
que l’écueil de l’art classique, l’écueil de l’art romantique est l’humour, le développement outré de la personnalité de l’artiste. Réf. bibl.
I. De l’indépendance du caractère individuel
La subjectivité infinie qui est le principe général de la forme romantique de l’art, constitue aussi dans la sphère présente, le caractère fondamental. Ce qui apparaît ici comme nouveau, c’est d’abord le caractère de particularité de l’idée en vertu de laquelle agissent les personnages, ensuite la nature de toutes les facultés humaines dans cette idée particulière qui absorbe leur esprit et leur volonté ; en troisième lieu enfin, l’individualité vivante qui circonscrit le caractère dans des limites très restreintes. Réf. bibl.
I. Ce qui paraît d’abord ce sont les caractères qu’une passion personnelle pousse, ils ne représentent aucune idée générale : ce qu’ils méditent, ils le réalisent sans invoquer de principes, sans vouloir d’excuse. Réf. bibl.
Aussi chez Shakespeare, il n’est question ni de religion, ni de patrie, ni d’idée morale : « nous avons sous les yeux des personnages indépendants, placés uniquement en face

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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