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Cote : Antibes_066_f_050__v | ID_folio : 3714 | ID_Transcription : 3711 | ID_Image : 14655
d’eux-mêmes et de leurs propres desseins, qu’ils ont conçus spontanément et dont ils poursuivent l’exécution avec la conséquence inébranlable de la passion sans se livrer à des réflexions accessoires, sans vues générales et uniquement pour leur satisfaction personnelle. Exemples : Macbeth, Othello, Richard  III. Voyez l’analyse du caractère de Macbeth. (p. 473-474)
La fatalité du monde antique reparaît dans la personne liée à sa nature, à son caractère ; les choses arrivent par la force de leur principe, et la beauté du sujet, c’est de rester alors calme et impassible en face de cette puissance qui l’accable. Voyez par exemple la fin d’Othello.Réf. bibl.
II. Le côté abstrait du caractère peut consister en second lieu dans la concentration, l’individu alors reste enfermé en lui-même, sans expansion ni développement.Réf. bibl.
Ce qui constituait les premiers caractères, c’était la manifestation de ce qu’ils sont ; ici au contraire, c’est l’absence de développement et de manifestation. Réf. bibl.
Il arrivera un moment dans la vie où toute son énergie se portera sur un seul sentiment – figure de Juliette dans Shakespeare (voyez p. 479), Miranda, le Roi de Thulé de Goethe,Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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