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Cote : Antibes_066_f_053__v | ID_folio : 3719 | ID_Transcription : 3716 | ID_Image : 14670
L’art a pour destination
de représenter le réel comme vrai, c’est-à-dire dans sa conformité avec l’idée. Réf. bibl.
L’extérieur
doit s’accorder avec un fond qui soit en harmonie avec lui-même. Il rejette tout ce qui ne répond pas, dans la représentation, à l’harmonie de l’objet avec sa véritable idée. C'est par cette purification qu’il produit l’idéal. (p. 129)
L’idéal
est la réalité, retirée du domaine de l’accidentel. (p. 130)
Les Allemands
dans leur dégoût de la rhétorique française en étaient venus à un degré d’énergie concentrée qui ne s’exprimait presque plus que par des interjections.
Mais l’homme dans lequel se manifeste l’état pathétique doit en être rempli, – et en même temps être capable de le développer convenablement.
(p. 221)

Dans la détermination des caractères
un élément principal doit apparaître – mais il ne faut pas exclure la fécondité et la vitalité. Le champ doit être laissé libre à l’individu pour s’exercer dans plusieurs sens. Réf. bibl.
Exemple de Roméo et Juliette et d’Achille, ils ont d’autres passions que leur passion dominante. (p. 229 et suiv.)
Hegel blâme la Phèdre de Racine
Un véritable caractère agit par lui-même. Phèdre a tort de se laisser conseiller. (p. 233)

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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