Hegel, Esthétique, 3
- 5455.Le sublime de Hegel
contraire Ă celui de Jouffroy
- L’existence absolue, si elle était pure, affranchie de toute
détermination, conduirait au sublime ; mais dans l’idéal
classique l’esprit se réalisant et se manifestant sous une
forme sensible qui est son image parfaite, ce qu’il y a
de sublime
se montre fondu dans sa beauté – et comme ayant
passé tout entier en elle. C'est là ce qui rend nécessaire
dans la représentation des dieux l’expression de la grandeur
et de la belle sublimité classiques. (t. 2, p. 310)
- fort belles sur le sérieux que doit avoir l’artiste. Il doit rendre
objectif ce qui est en lui et le manifester sous une forme
vivante. Sa personnalité doit s’absorber entièrement
dans l’objet. Réf. bibl.
T. 3
- Les Français
- cherchent la valeur de leurs œuvres dans la satisfaction des autres. C'est principalement
dans leur poésie dramatique que se remarque cette tendance.
Anecdote de la Clairon qui dans Denis le tyran, au lieu de
faire au roi une demande importante se tourna vers le
parterre pour le consulter. Ce geste décida du succès de
toute la pièce. (p. 14)
-
Eurythmie architecturale des Grecs. (p. 91-92)
- c’est la maison entièrement fermée. De même que l’esprit chrétien
se retire tout entier dans la conscience, de même l’église est
l’enceinte fermée où les fidèles viennent se recueillir
intérieurement.
L'impression à produire est opposée à celle du temple grec