- ouvert et serein. Plus de portiques ouverts ni de galeries qui
mettent en communication avec le monde et la vie extérieure. Réf. bibl.
-
Le caractère le plus frappant, c’est le libre essor, l’élancement
en pointes, formées, soit par des arcs
brisés, soit par des lignes
droites. (p. 132)
- des nombres, dans l’architecture gothique, comme à la cathédrale
de Cologne, parce que la conception encore confuse des idées rationnelles1
se contente facilement de ces signes extérieurs. (p. 140)
- consiste en ceci : incarner dans la forme humaine
le principe spirituel, dans sa nature à la fois générale et individuelle,
mais non encore particularisée et subjectivement repliée sur elle-même,
mettre ces deux termes dans une parfaite harmonie, en n’offrant
que les traits généraux et invariables de formes qui corres
pondent à l’élément spirituel, et en écartant ce qui est accidentel et passager, bien que la figure ne doive pas manquer d’individualité. (p. 189-190)
- il faut l’envisager du point de vue de la sculpture. Tout y a le
caractère plastique à la fois général
et individuel.Réf. bibl.
- appartient à l’idéal de la beauté absolue parce que c’est seulement dans
cette conformation de la figure que l’expression de l’esprit refoule
entièrement l’élément purement physique sur un plan inférieur
– et en second lieu se dérobe le plus aux
accidents de la forme. (p. 211)
- ouverture de l’oreille extrêmement grande dans les bustes de Marc-Aurèle ;
id. chez Hercule comme l’étaient celles des athlètes et des pancratiastes. (p. 219)