- différenceDifférence de la Vierge avec
Jésus &et d’isisIsis avec OrusHorus
- onOn ne voit ici ni mère ni fils – pas une trace d’amour, pas
un baiser (vv.voir R. Raoul-Rochette, cours d’arch.d'archéologieCours d'archéologie).Réf. bibl.
-
Le sens spirituel des Égyptiens est encore trop peu vif prpour avoir
besoin de la précision d’une représentation à la fois vraie &et vivante.Réf. bibl.
- antipathique à l’esprit chrétien. (p.page 312)Réf. bibl.
- est plus propre à exprimer...exprimer les sentiments de l’âme, &et en
même temps à représenter les particularités de la forme extérieure
libre, dégagée de sa
dépendance de l’esprit. (p.page 312)
- est de faire ressortir vivement &et rehausser la vitalité de la nature
qui perce partout – &et la sympathie caractéristique des modes de
cette vitalité avec les sentiments particuliers de
l’âme humaine
dans les objets des paysages représentés. (p.page 392)
- s’était logé chez son cordonnier –. saSa joie de voir un intérieur d’ostaded'Ostade :
« c’étaitC'était la première fois que j’exerçai sciemmentm’était révélée à un tel degré cette faculté, que
j’exerçai sciemment ensuite, de voir la nature avec les
yeux de tel
ou tel artiste, aux ouvrages duquel j’avais pu donner une
attention toute particulière. » etEt la suite p.page 423. Réf. bibl.
- représentent le Christ Crucifiécrucifié, très affaissé, le bas-ventre enflé, la tête tombante. Réf. bibl.
- ──────────────[en le représentant] ont eu soin de le relever. Ils avaient prpour but
l’idée de la victoire de l’esprit. (p.page 463)
- Aucune pensée sérieuse ne s’adresse à l’objet dont il est question. L’expression elle-même est la jouissance. c’estC'est le Jouirjouir de soi-même de l’amour, qui cherche sa félicité –. c’estC'est un désir qui se satisfait comme désir. (p.page 466)