Hegel, Esthétique, 6
- 5758Les Grecs
- n’ont pas de livres religieux, comme les Indiens, les Perses, les Juifs.Réf. bibl.
- V. p. 276 et 280.
« Il n’y a qu’un seul homme qui puisse créer un tout pareil. » L'opinion contraire est une conception barbare et qui contredit l’idée même de l’art. Si l’on veut dire par là que le poète s’est effacé devant son œuvre, c’est faire son plus bel éloge. Réf. bibl. Les Niebelungen
- « Vouloir en faire quelque chose de national et en quelque sorte une bible populaire,
c’est l’idée la plus plate et la plus triviale. » (p. 293)
- il faut qu’elle touche à l’histoire universelle, aux destinées
du genre humain. (p. 301)
- va à l’encontre de la morale ordinaire qui est le sacrifice de soi-même.
Mais son droit est de se développer avec toute son énergie puisque dans son individualité, il représente quelque chose de général : le caractère grec. (p. 312) Critique
- de l’Énéide et et des discours de Tite-Live – comme artificiels. (p. 322)
- de la Messiade – de la Henriade. (p. 325)
- peu estimés d’Hegel. Il trouve qu’on a
exagéré leur importance historique – quant à leur valeur
artistique elle est nulle. « Le champ des jouissances
poétiques n’en a pas été beaucoup agrandi. » (t. V, p. 27)
- naît et meurt comme le sentiment qui l’a fait naître. (p. 58)