2.
- CopieÂ
- La nature a cachĂ© la science, dans l'intĂ©rĂȘt de l'homme.
« Les hommes sont pervers : ils seraient pires encore, s'ils avaient
eu le malheur de naßtre savants ».(p. 43)
- Il faut considĂ©rer les sciences et les arts en eux-mĂȘmes
et voir ce qui doit résulter de leur progrÚs. Réf. bibl.
IIe partie
- Comment Jean-Jacques Rousseau comprend le mythe de
PromĂ©thĂ©eÂ
- « C'Ă©tait une ancienne tradition passĂ©e de l'Ăgypte en GrĂšce,
qu'un Dieu ennemi du repos des hommes Ă©tait
l'inventeur
des sciences ». Jean-Jacques Rousseau ne voit pas autre chose dans le mythe de
Prométhée.Réf. bibl.
- Les sciences ont une origine honteuse.
« L'astronomie est née de la superstition ; l'éloquence de
l'ambition, de la haine, de la flatterie, du mensonge ; la
géométrie de l'avarice ; la
physique d'une vaine curiosité ;
toutes, et la morale mĂȘme, de
l'orgueil humain. »Réf. bibl.
-
Leur objet n'est pas plus édifiant : « Que ferions-nous des
arts, sans le luxe qui les nourrit ? Sans les injustices
des hommes, à quoi servirait la jurisprudence ? Que
deviendrait l'histoire s'il n'y avait ni tyrans, ni guerres,
ni conspirateurs ? »... Sommes-nous donc faits pour
mourir attachĂ©s sur les bords du puits oĂč la vĂ©ritĂ© s'est
retirée ? Cette seule réflexion devrait rebuter dÚs les premiers
pas tout homme qui chercherait sĂ©rieusement Ă
s'instruire
par l'étude de la philosophie. » Réf. bibl.
-
Que de dangers dans
l'investigation des sciences : « le faux est susceptible d'une
infinité de
combinaisons, mais la vérité n'a qu'une
maniĂšre d'ĂȘtre ». - Et admettant qu'on l'ait trouvĂ©e
qui de nous en saura faire un bon usage ?Réf. bibl.
- Dangereux effets des sciences. Nées de1 l'oisiveté
elles l'entretiennent. « Et la perte irréparable du
temps est le premier préjudice qu'elles causent nécessairement à la
Société. » Réf. bibl.
- Apostrophe : « Répondez-moi donc philosophes illustres, vous par qui nous savons, etc., etc. ». Quand nous ne saurions pas ces choses en serions-nous moins heureux2  ? « Revenez donc Réf. bibl.