- Ardemmentardemment Ă notre bien-ĂȘtre et Ă la conservation de nous-mĂȘmes,
et
l'autre nous inspire une répugnance naturelle à voir
pĂ©rir ou souffrir tout ĂȘtre sensible et principalement
nos
semblables. » deDe la combinaison de ces deux principes « sansÂ
qu'il soit nécessaire d'y faire entrer celui de la
sociabilité »
découledécoulent toutes les rÚgles du droit naturel. Réf. bibl.
- lesLes animaux « dépourvus de lumiÚre1 et
de liberté » ne peuvent
reconnaĂźtre cette loi mais tenant en qqchosequelque chose Ă notre nature
par la sensibilité dont ils sont doués on jugera qu'ils
doivent aussi
participer au droit naturel et que l'homme
est assujetiassujetti envers eux Ă quelque espĂšce de devoirs. ilIl
semble en effet que si je suis obligé de ne faire aucun
mal Ă mon semblable c'est moins parce qu'il est un ĂȘtre
raisonnable que parce qu'il est un ĂȘtre sensible ;
qualité
qui Ă©tant commune Ă la bĂȘte et Ă l'homme doit
au moins donner Ă l'un le droit de n'ĂȘtre point
maltraité inutilement par l'autre. » Réf. bibl.
- « l'étudeL'étude de l'homme originel est le seul bon
moyen qu'on puisse employer pour lever les difficultés qui se
présentent sur l'origine de l'inégalité morale, sur les vrais
fondemensfondements du corps politique, sur les droits réciproques
de ses
membres » etc.Réf. bibl.
Discours
- Deux sortes d'inégalités dans l'espÚce humaine : l'une
naturelle ou physique, l'autre morale ou politique.
ilIl n'y a pas de de liaison essentielle entre les deux inégalités. Réf. bibl.
- ilIl s'agit dans ce discours de marquer dans le
progrĂšs des choses le moment oĂč le droit succĂ©dant Ă
la
violence, la nature fut soumise Ă la loi. RĂ©f. bibl.
- lesLes philosophes ne sont pas remontĂ©s jusqu'au vĂ©ritable Ă©tat de nature ou l'ont surchargĂ© d'Ă©lĂ©mensĂ©lĂ©ments postĂ©rieurs - ces recherches ne peuvent ĂȘtre que des « commençonsCommençons donc par Ă©carter tous les faits car ils ne touchent pas Ă la question » ... « lesLes recherches