| Fragments et références bibliographiques exactes |
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Réplique de Mr Bordes à la réponse de JJ Rousseau ou Second discours sur les avantages des Sciences & des Arts. -
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [09] Réplique de M. Bordes à la réponse de J.J. Rousseau, ou second discours sur les avantages des sciences et des arts.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791 |
[n°1]
et en note "on me demandera peut-être quel mal peut faire à l'état un citoyen qui en sort pr n'y plus rentrer. il fait du mal // aux autres par le mauvais exemple qu'il donne, et il en fait à lui-même par les vices qu'il va chercher. De toutes manières c'est à la loi de le prévenir, et il vaut encore mieux qu'il soit pendu que méchant". c'était là le raisonnement de l'inquisition.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [08] Dernière réponse de J.J. Rousseau. - p. 322-323.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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[n°2]
" Je n'entends point cette distinction de l'oisiveté et du loisir mais je sais très certainement que nul honnête homme ne peut jamais se vanter d'avoir du loisir tant qu'il y aura du bien à faire, une patrie à servir des malheureux à soulager (325 .
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [08] Dernière réponse de J.J. Rousseau. - p. 324-325.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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[n°3]
« " sous prétexte que le pain est nécessaire faut-il que tout le monde se mette à labourer la terre" Pourquoi non - qu'ils paissent même, s'il le faut. J'aime encore mieux voir les hommes brouter l'herbe dans les champs que de s'entre dévorer dans les villes. il est vrai que tels que je les demande ils ressembleraient beaucoup à des bêtes ; et que tels qu'ils sont, ils ressemblent beaucoup à des hommes. (325
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [08] Dernière réponse de J.J. Rousseau. - p. 325.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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[n°4]
"pour quelque homme que ce soit, il n'y a de livres nécessaires que ceux de la religion les seuls que je n'ai jamais condamnés" (328)
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [08] Dernière réponse de J.J. Rousseau. - p. 328.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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[n°5]
"il y a cent à parier contre un, que le premier qui porta des sabots était un homme punissable, à moins qu'il n'eût mal aux pieds. Quant à nous, nous sommes trop obligés d'avoir des souliers, pr n'être pas dispensés d'avoir de la vertu" (333.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [08] Dernière réponse de J.J. Rousseau. - p. 333.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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[n°6]
en finissant "J'ai tâché d'élever un monument qui ne dût point à l'art sa force et sa solidité. la vérité seule à qui je l'ai consacré a droit de le rendre inébranlable p 335. voilà qui me ferait douter beaucoup de la bonne foi de Rousseau.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [08] Dernière réponse de J.J. Rousseau. - p. 335.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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[n°7]
est plus nerveuse que le premier discours (v p. 354) l'analyse du gouvernement de Sparte
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [09] Réplique de M. Bordes à la réponse de J.J. Rousseau, ou second discours sur les avantages des sciences et des arts. - p. 354-357.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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[n°8]
- p 393 critique du caractère de Caton, comme sot et intempestif.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - [09] Réplique de M. Bordes à la réponse de J.J. Rousseau, ou second discours sur les avantages des sciences et des arts. - p. 393-394.
Dans: Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 - 1791
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Cote Montmorency - vol. 495 - f°012 - Verso - 
f°013 - Recto | f°014 - Recto