-
aux autres par le mauvais exemple qu'il donne,
et il en fait Ă
lui-mĂȘme par les vices qu'il va chercher. De toutes maniĂšres c'est
à la loi de le prévenir, et il vaut encore mieux qu'il soit
pendu que méchant ». c'était là le raisonnement de l'inquisition. -
« Je n'entends point cette distinction de l'oisiveté et du loisir
mais je sais trĂšs certainement que nul honnĂȘte homme ne
peut jamais se vanter d'avoir du loisir tant qu'il y aura
du bien Ă faire, une patrie Ă servir des malheureux Ă
soulager » ( 325. -
« âsous prĂ©texte que le pain est nĂ©cessaire faut-il que tout le
monde se mette Ă labourer la terreâ Pourquoi non - qu'ils
paissent mĂȘme, s'il le faut. J'aime encore mieux voir les
hommes brouter l'herbe dans les champs que de s'entre
dévorer dans les villes. il est vrai que tels que je les demande
ils ressembleraient beaucoup Ă des bĂȘtes ; et que tels qu'ils
sont, ils ressemblent beaucoup à des hommes. » ( 325 -
« pour quelque homme que ce soit, il n'y a de
livres nécessaires que ceux de la religion les seuls que je n'ai
jamais condamnés » ( 328) -
« il y a cent à parier contre un, que le premier qui porta
des sabots Ă©tait un homme punissable, Ă moins qu'il
n'eût mal aux pieds. Quant à nous, nous sommes trop
obligĂ©s d'avoir des souliers, pr n'ĂȘtre pas dispensĂ©s d'avoir
de la vertu » ( 333. -
en finissant
« J'ai tùché d'élever un monument qui
ne dût point à l'art sa force et sa solidité. la vérité
seule à qui je l'ai consacré a droit de le rendre inébranlable
p  335.  voilà qui me ferait douter beaucoup de la
bonne foi de Rousseau.
RĂ©plique de
Mr
Bordes à la réponse de J
J Rousseau ou Second discours sur
les avantages des SciencesÂ
&
des Arts
. -
-
est plus nerveuse que
le premier discours
( v p. 354) l'analyse du gouvernement de
Sparte -
-Â
p
 393 critique du caractÚre de Caton, comme sot
et intempestif. - - p  395 le dogme de la