Fragments et références bibliographiques exactes |
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livre II.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 |
[n°1]
la sociĂ©tĂ© doit ĂȘtre gouvernĂ©e sur l'intĂ©rĂȘt commun - n'Ă©tant que l'exercice de la volontĂ© gĂ©nĂ©rale la souverainetĂ© ne peut s'aliĂ©ner et le souverain Ă©tant un ĂȘtre collectif ne peut ĂȘtre reprĂ©sentĂ© que par lui-mĂȘme le pouvoir peut bien se transmettre, mais non pas la volontĂ©
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II. - p. 45-46.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°2]
il est impossible en effet qu'une volonté particuliÚre s'accorde longtemps avec la volonté générale si donc le peuple promet simplement d'obéir il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple. à l'instant qu'il y a un maßtre il n'y a plus de souverain et dÚs lors le corps politique est détruit.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II. - p. 46-47.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°3]
Par la mĂȘme raison que la volo souverainetĂ© est inaliĂ©nable, elle est indivisible. Car si la volontĂ© est gĂ©nĂ©rale cette volontĂ© dĂ©clarĂ©e fait est un acte de souverainetĂ© et fait la loi si elle est particuliĂšre c'est un acte de magistrature, c'est un dĂ©cret tout au plus.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II. - p. 47-48.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°4]
On a pris pour des parties de l'autoritĂ© souveraine ce qui n'en Ă©tait que des Ă©manations, telles que le droit de l'acte de dĂ©clarer la guerre ou la paix qui n'est point une loi, mais seulement une application de la loi. - et ainsi, ailleurs, ces droits qu'on prend pr des parties de la souverainetĂ© lui sont subordonnĂ©s et supposent toujours des volontĂ©s surprĂȘmes dont ses droits ne donnent que l'exĂ©cution.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II. - p. 49.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°5]
la volontĂ© de tous regarde Ă l'intĂ©rĂȘt privĂ© et la volontĂ© gĂ©nĂ©rale Ă l'intĂ©rĂȘt commun (v p. 52) la formation des sociĂ©tĂ©s partielles dans l'Ă©tat qui sont expriment la volontĂ© gĂ©nĂ©rale par rapport aux membres qui composent ces sociĂ©tĂ©s mais la volontĂ© particuliĂšre eu Ă©gard Ă l'Ă©tat et en opposition avec lui - il importe donc qu'il n'y ait pas de sociĂ©tĂ© partielle dans l'Ă©tat ou s'il y en a il en faut multiplier le nombre et en prĂ©venir l'inĂ©galitĂ©.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II. - p. 52-53.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°6]
"Comme la nature donne Ă chaque membre homme un pouvoir absolu un pouvoir absolu sur tous ses membres le pacte social donne au corps politique un pouvoir absolu sur tous les siens ; et c'est ce mĂȘme pouvoir qui dirigĂ© par la volontĂ© gĂ©nĂ©rale porte, comme je l'ai dit, le nom de souverainetĂ© ch IV p 54.
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II. - p. 54.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°7]
il faut distinguer les droits respectifs du souverain et des citoyens
Référence exacte :
Rousseau, J.-J. - Contrat social, Livre II. - p. 54.
Dans: Politique - t. 2 - 1790 Voir la citation (1 occurrence) |