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Cote : g226_1_f_012__r____ | ID_folio : 2444 | ID_Transcription : 934 | ID_Image : 7331

L’Arboriculture fruitière, Gressent, 4e éd., 1869

L’armée est appelée à rendre de grands services à la France par l’enseignement de l’horticulture.Réf. bibl.
Les vésicules ovales du tissu cellulaire simulent les alvéoles des abeilles.(p. 21)
Pour stimuler les vieilles graines, les mettre tremper deux ou trois heures dans l’eau salée. 25 grammes de sel par litre d’eau pas plus.(p. 35)
Les feuilles ne fonctionnent que sous l’action des rayons solaires.Réf. bibl.
La sève monte depuis l’extrémité des racines jusqu’aux cellules des feuilles, par les couches les plus extérieures de l’aubier - pendant le jour.Réf. bibl.
Le cambium redescend, par les couches les plus intérieures pendant la nuit(p.39-40).1
On colore en rouge les fruits, en les mouillant 3 ou 4 fois par jour avec de l’eau fraîche le côté du fruit exposé à la lumière.
La chaleur excessive fend la terre, brise les racines et les laisse à découvert.Réf. bibl.
Du fumier tout frais au pied des arbres, produit le blanc des racines, tue l’arbre en quelques heures on a fumé avec excès. - Alors on ne fume plus du tout.(p. 69)
Fumer abondamment tous les 3 ans, mauvais. – Gourmands. – Gomme.Réf. bibl.
Les fumiers d’écurie et d’étable doivent être très consommés, - après les avoir maniés plusieurs fois.Réf. bibl.
Asperger les feuilles avec une vieille brosse pour combattre la sécheresse.Réf. bibl.
Les arrosements copieux au pied des arbres, mauvais. –(p. 85.)
Greffe herbacée Leberryais.(p. 97.)
Deux greffes - — l’eau séjourne entre les deux greffes comme dans une cuvette.(p.99.)
Lorsque les arbres arrivent ridés de chez le pépiniériste, les mettre tremper dans l’eau les expose à périr par la pourriture des racines.Réf. bibl.
Mauvaises expositions. — (p. 133.) – Chaperon trop avancé2 .
Treillage en bois — sert de refuge aux insectes, - pour le réparer on enlève une grande partie des boutons à fruits.
Fil de fer, galvanisé. – (p. 153.) Clous, fiches.

Coupure des racines, exemples de bonne et de mauvaise.(p. 185)
Ne pas agglomérer l’engrais au collet de la racine, – et ne pas l'enfouir trop profondément.
C'est à l’extrémité des racines qu’il doit être placé.
(p. 192-193.)

Les fraises, au pied des arbres, attirent les vers blancs.
Les laitues id.
RĂ©f. bibl.

Le porte-jonc3 s’attache à la ceinture.(p. 207.)
Façon de manier la serpette. (p. 211.) – Toujours au-dessus des doigts de la main pour ne pas se blesser.

Transcription : Stella Mangiapane

Page de notes de lecture

Titre de la page : L’Arboriculture fruitière, Gressent, 4e éd., 1869


Notes

1Aux p. 38-39, Gressent ne parle que de la sève ; et ce n’est qu’à la p. 40 qu’il commence à parler du cambium : "Lorsque la sève a subi, dans les cellules des feuilles, les modifications que nous venons de d’indiquer, elle prend le nom de cambium."

2Dans l'ouvrage de Gressent, la question des dimensions des chaperons est traitée aux p. 133-134.

3Dans l'ouvrage de Gressent, une figure illustre cet instrument (v. p. 207).

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