Agriculture, Gasparin, 4
- 20 000 naissances en France produisent 12 763 individus âgés de 20 ans.Réf. bibl.
- La ration d’entretien d’un mouton est le 60e de son poids en foin (v.p.53.)
- Toutes les fois qu’on se plaint que les denrées sont trop chères, il faudrait
ajouter : pour vivre comme il nous plaît de
vivre », Arthur Young. (v.p. 56.)
- La séparation des deux sexes dans les plaisirs, les jours de fête est le fait le plus funeste qui
vienne entraver les progrès
matériels et moraux des familles. (p. 57).
- Prix de la journée d’ouvrier dans les divers pays de l’Europe. (p. 59).
- La France penche vers un accroissement excessif, - ce qui est fâcheux. Cela entraine comme on le voit en Chine le
remplacement du travail des animaux par l’homme. (p. 67)
- Le tiers meurt pendant les six premiers mois de leur arrivée au régiment.(p. 79).
- Le mulet ne dépasse pas la limite nord de la région du maïs.Réf. bibl.
- Le bœuf de travail ne dépasse pas la limite
nord de la région des vignes.Réf. bibl.
- La direction des bœufs difficile - pas de coups. Elle consiste plutôt dans la récitation d’un monologue (p. 93)
- Olivier de Serres recommandait de s’en servir. - En les nourrissant à discrétion de
trèfle vert, il n’y aura pas diminution de lait. (p. 98)
- Mathieu de Dombasle ne voulait pas qu’il pénétrât au-delà de la moitié de la profondeur
du
labour.
Dans les terrains sablonneux, il est inutile. - Dans les pierreux nuisible parce qu’il
rencontre des obstacles qui l’arrêtent ou le
brisent.RĂ©f. bibl.
- Pour les terrains susceptibles de se durcir beaucoup après les pluies, il y a du danger Ă
pulvériser trop finement le sol et à en faire disparaître les mottes complètement.
Il faut mieux attendre leur désagrégation de l’effort des gelées qui en les pulvérisant
laissent pourtant les particules dans un certain état de séparation.Réf. bibl.
- Nombre de chevaux difficile à régler. Les plus ardents tirent plus que les autres. il est difficile
de leur
faire prendre Ă tous le mĂŞme pas. L’attelage isolĂ© vaut mieux. – Dans ce système-lĂ
le même nombre de chevaux conduit une charge à peu près double. (p. 264)
- Les attelages en file, mauvais. Car si les tailles sont inégales il y aura une décomposition de forces sur les épaules du
cheval de derrière, qui pèsera sur le grand cheval s’il est placé derrière et qui soulèvera le petit si le grand est en avant. Atteler de front vaut mieux. (p. 267).
- Mais pour le labour l’attelage à deux de front a l’inconvénient de faire marcher un
des
chevaux dans le sillon et par conséquent de faire piétiner et de tasser le sous-sol
et de le rendre imperméable aux pluies.Réf. bibl.
- Bricole : mauvaise. elle s’appuie sur le devant du poitrail, s’adapte imparfaitement à cette surface inégale et gêne les mouvements de l’avant-bras. (p. 269) Joug des bœufs
- - Point où il faut le poser, selon Gasparin sur la tête. - Columelle voulait qu’on le
mît sur le cou et la poitrine (p. 271).
Avec le joug attelé au collier le bœuf va aussi vite que le cheval. V. pour dissertation intéressante (p. 272-273)