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Cote : g226_1_f_023__v____ | ID_folio : 3247 | ID_Transcription : 956 | ID_Image : 9740
unUn pâturage trop chargé de moutons, finit par donner très peu d’herbe, quoiqu’ayant une fertilité très supérieure à son produit apparent. Dans ce cas les animaux arrachent les meilleures plantes &et les mangent jusqu’à la racine, ou bien par une tonte trop répétée, ils produisent sur elles le même effet que le jardinier produirait par la taille p.pour rendre les arbrisseaux nains (p.page 334).
l’échardonnageL'échardonnage à la main indispensable quand on veut avoir des champs bien nets.Réf. bibl.
Les plantes à racines traçantes, chiendent, avoine à chapeletchapelets, roseau, très difficiles à s’en débarrasser.Réf. bibl.
dansDans un terrain humide les roseaux ne cèdent qu’à un défoncement complet.Réf. bibl.
Culture de Tull
sonSon principe était que la terre réduite en particules très fines est la partie principale de la nourriture des plantes. leLe fumier n’agissant qu’en divisant les molécules de la terre par la fermentation. laLa culture doit donc consister à donner de fréquents labours, à pulvériser la terre et à ne se servir de fumier que comme d’un auxiliaire couteux. (vvoirv. ppagep. 396).
cependantCependant c’est à Tull qu’il faut rapporter le système perfectionné des cultures en lignes et des sarclages avec des instruments mus par des animaux, système qui est maintenant la base de l’agriculture perfectionnée.Réf. bibl.
Culture du major Beatson
suppressionSuppression des engrais &et des labours – usage de l’argile brûlée, &et substitution des scarificateurs à la charrue.
commeComme Tull, Beatson confond l’ameublissement du sol avec son aération il ne comprend pas la nécessité de l’exposer à l’air par de vastes surfaces poreuses.
p.page 401

Engrais
Si la chaux – ne fait pas partie constituante du terrain, il faut lui en fournir par les chaulages &et les marnages.Réf. bibl.
tourteauxTourteaux n’est pas un engrais complet. Il faut les alterner avec le fumier - Les sels ammoniacaux sontcontiennent en effet, lesune des substances les plus essentielles à la végétation, l’ammoniaque - mais il faut autre chose.Réf. bibl.
lesLes fumiers d’étable &et les engrais végétaux sont les seuls qui puissent passer prpour des engrais complets.Réf. bibl.
lesLes engrais doivent être complétés par l’addition des matières qui leur manquent.Réf. bibl.
Précepte : fumer chaque plante qu’on cultive au maximum1 . c’est-à-dire avec une quantité &et une qualité d’engrais telletelles qu’elle puisse produire sauf les accidents, la plus forte récolte dont le climat &et le sol sont susceptibles. (p.page 413.
objectionsObjections contre les fumures abondantes : 1° une gdegrande quantité de litière soulève le sol &et le rend mal affermi. 2° le blé, en particulier, traité avec cette opulence s’élève beaucoup &et est sujet à verser.
laLa 1ère n’est pas juste quant aux fumiers consommés la 2e non plus. Car les blés approchant du maximum se soutiennent très bien. cet accident a d’autres causes que l’abondance des produits.
RĂ©f. bibl.

Transcription : Stella Mangiapane

Page de notes de lecture


Notes

1"FUMER CHAQUE PLANTE QU’ON CULTIVE AU MAXIMUM" dans l'ouvrage de Gasparin (p. 413).

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