Agr.Agriculture, Gasparin., 5
- étatÉtat des engrais à employer
- siSi la décomposition est complète, le fumier a perdu les 2/3 de ses principes azotés -
et il est réduit en gdegrande partie à son carbone – à moins que par le moyen des sulfates
et principalement du sulfate de fer, on ait
changé le carbonate d’ammoniaque volatilevolatil
en sulfate d’ammoniaque - qui est un sel fixe.(p.page 424)
- instinctInstinct des racines1 . vvoirV. p.page 432).
- certainesCertaines maladies se transmettent par leurs graines., – tel est le charbon des blés, dont
qquesquelques grains maladessuffisent p.pour empoisonner les autres. - Il est faciles de s’apercevoir si les
grains qu’on veut semer sont souillés de poussière charbonneuse. Elle noircit les mains
quand on les
froisse.(p.page 441)
- Eau végétative de Van Helmont. - &et autres.
enEn général ce sont des dissolutions de salpêtre.
voy.voyezVoy. les recettes.(p.page 479).
- Les semailles d’automne ont contr’ellescontre elles les gelées - &et les dégels. - L’eau se regelant ensuite pendant la nuit
détache par ses changements successifs de volume la
terre qui tient aux racines.
Si le sol a de la profondeur naturelle ou acquise par les labours les eaux s’infiltrent rapidemtrapidement. cetCet écoulement est facilité en outre par le soin d’ouvrir avec le butoir de larges rigoles d’écoulmtécoulement dans le sens des pentes diverses que présente le sol. Rien n’annonce mieux une culture intelligente que la multiplication suffisante &et la bonne direction de ces rigoles.(p.page 485) semisSemis à poquets
- onOn enlève un certain cube de terre au moyen d’une houe, on tient cette terre suspendue
sur la houe
jusqu’à ce que le semeur ait placé dans la cavité qui a été faite les graines
qui y sont destinées, &et sur lesquelles on replace une partie de la terre qui avait été enlevée.
Souvent on place aussi du
fumier dans le poquet avant d’y mettre la semence.Réf. bibl.
- celaCela se fait p.pour les plantes qui se propagent par racines. par lĂ ainsi on peut mettre
en contact avec elles le fumier qui leur est destiné &et qu’on cherche à ménager.Réf. bibl.
- MrMonsieurM. Pichat professeur à gGrignon a réduit la pratique en principes (p.page 498)
- haiesHaies forestières – mauvaises p-pour la culture, mais commodes p-pour le fermier qui y trouve
du bois. (p.page 522)
- p.pourPour le succès de la plantation les racines ne doivent pas être enterrées trop profondément. (p.page 531)
- sonSon efficacité niée par Oscar Leclerc. « uneUne taille quelconque soit en sec, soit en vert
n’ajoute jamais à l’accroissement normal de l’individu - &et l’arbre taillé prend
toujours moins de développement que celui qui ne l’est pas » -(p.page 549).
- leLe faire de bonne heure avant que la plante n’ait tallé. (p.page 560)
- maturitéMaturité. mot vague. (p.page 565). autant de produits autant de principes p.pour déterminer leur
maturité agricole.
- lesLes carottes profondément enracinées ne supportent pas les frais d’un arrachage à la main on les arrache à la charrue.Réf. bibl.