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: Le point capital est de bien établir les dessous. on abaisse &et on relève l’extrémité des bourgeons.Réf. bibl.
: vaseVase ramifié sur trois branches(p.pages 412-414)1
: Distribuer la sève égalemtégalement dans toutes les branches – prpour cela entailles aux branches les plus vigoureuses prpour détourner la sève – &et on les palisse.Réf. bibl.
: – émousserÈmousser. – enlever les têtes de saules complètemtcomplètement. s’il y a des bourgeons on choisit le plus rapproché de la base prpour le convertir en rameau à fruit - on comble les vides avec des greffes de boutons de fruits – maintenir les prolongemtsprolongements longs jusqu’à ce que la branche soit restaurée.Réf. bibl.
: - visiterVisiter les racines, mettre de la bonne terre.Réf. bibl.
: La restauration des quenouilles porte sur les rameaux à fruits prpour cela donner de la lumière, équilibrer Le mieux est d’en faire des vases. prpour cela l on change la terre incision annulaire on coupe les branches en biseau &et on applique une greffe en couronne.Réf. bibl.
: Lambourde de poirier négligée2 . (p.page 437). La sève a du mal à passer par toutes ces ramifications prpour arriver jusqu’au fruit. &Et il ne se forme sur ces lambourdes que des fruits imparfaitemtimparfaitement formés.
: siSi on enlève toutes les lambourdes d’un seul coup, il se produit des bourgeons en quantité.Réf. bibl.
: nécrosesNécroses, produites par les mauvais coups de sécateur4 (p.page 440) = portion de bois mort enchâsséenchâssée dans les parties vivntsvivantes
: enleverEnlever &et poser une greffe au sommet du biseau.Réf. bibl.
: bourreletBourrelet. produits sur les onglets laissés par le sécateur.Réf. bibl.
: ulcèreUlcère le frotter avec du jus d’oseille, souvent causéecausé par la bêche qui a blessé les racines.Réf. bibl.
: gélivureGélivure – chlorose - langueur rouille des feuilles – tigre.(p.page 454)

Notes

1Aux pages 412-414 de l'ouvrage de Gressent, trois figures (176, 177 et 178) illustrent la formation du vase ramifié et du vase sur trois branches.

2À la p. 437 de l'ouvrage de Gressent, la figure 188 illustre la « Lambourde de poirier négligée ».

3Cette page de notes est très intéressante car elle permet à plusieurs reprises de suivre de près le déroulement de la prise de note. Le premier cas est celui de : « Lambourde de poirier négligé. (437). La sève a du mal à passer par [...] bourgeons en quantité ». Ici, la première partie de la note est tirée de la p. 437 de l'ouvrage de Gressent tandis que la deuxième partie est tirée de la page 436 ; très probablement, Flaubert a été attiré d’abord par la figure 188 de la p. 437, qui illustre justement la lambourde de poirier négligée, et il l’a immédiatement notée ; puis, il s’est revenu en arrière et il s’est arrêté sur la page précédente où Gressent explique le procédé à suivre pour bien opérer dans l’élimination des lambourdes. La même chose se produit pour la note concernant l’ulcère (les causes – les coups de bêche – sont indiquées dans le texte à la p. 442 tandis que le traitement – l’emploi du jus d’oseille – est expliqué à la p. 443) et pour la note concernant les maladies du poirier (la gélivure est traitée à la p. 450 tandis que la chlorose et la langueur sont traitées respectivement aux p. 445 et 449).

4Dans l'ouvrage de Gressent, on lit plutôt : « La nécrose est une des maladies les plus fréquentes des arbres fruitiers, chaque coup de mauvais sécateurs la produit » (p. 440).

f°046 - Verso | f°047 - Recto Cote g226 - vol. 1 - f°047 - Verso - f°048 - Recto | f°048 - Verso

Notes