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RUE D’ ENGHIEN, 48. / M. DE FOY / INNOVATEUR-FONDATEUR / MARIAGES / 29e ANNÉE
SEUL, j’ai droit de porter ce titre: INNOVATEUR-FONDATEUR de…..LA PROFESSION MATRIMONIALE, …..parce que c’est moi, DE FOY qui l’ai RELEVÉE, INNOVÉE et fait SANCTIONNER.
La maison de M. de FOY est, par sa distinction et son mérite hors ligne, la 1re de l’Europe.
SUCCURSALES: Angleterre, Â Belgique, Â Allemagne, Â Etats-Unis.
ligne de titre 4: 29 ANNÉES d’expĂ©rience, d’études laborieuses et spĂ©ciales, unies Ă des relations immenses, offrent aux Dames veuves, ainsi qu’aux pères et mères de famille, ce privilĂ©ge EXCEPTIONNEL: «qu’ils peuvent, par la mĂ©diation de M. de FOY et SANS SORTIR DE CHEZ EUX, trouver Ă marier instantanĂ©ment et «richement, leurs filles, avec toutes les convenances les mieux assises, selon leurs goĂ»ts, vues et dĂ©sirs, et puiser, dans le prĂ©cieux rĂ©pertoire de M. de FOY, (en dedans de 24 heures,) VINGT PARTIS Ă leur choix dans la haute noblesse, la magistrature, l’épĂ©e, la diplomatie, les charges en titre, la » finance, le nĂ©goce, comme, aussi, les plus riches partis des diverses nations.» Un mystère enveloppe le nom de M. de FOY dans les nĂ©gociations, comme dans les correspondances.  Un appartement vaste permet de ne jamais se rencontrer, et, pour rĂ©sumer, la maison de M. de FOY est une tombe et un confessionnal pour la discrĂ©tion. ÂComme par le passĂ©, M. de FOY accueillera toujours, avec plaisir, l’aide et le concours de correspondants d’une grande honorabilitĂ©, principalement dans ces cinq royaumes: la FRANCE, l’ANGLETERRE, la BELGIQUE, l’ALLEMAGNE et les ETATS-UNIS. (Affranchir.)
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Pension pour les vieillards.
Après de vives et trop longues émotions, l’esprit fatigué aspire après le repos. Ce premier des besoins en ce moment doit se faire sentir plus vivement encore chez le vieillard dont le moral a subi l’effet de l’affaissement physique. La vieillesse, plus que tout autre âge, a besoin de repos et de tranquillité; elle est faible, et, comme l’enfance, elle a aussi besoin d’appui. C’est surtout à cet âge, où tous semble nous abandonner, que les bienfaits, les douceurs, les consolations de l’amitié sont nécessaires. C’est encore à cet âge, où tous les sentiments chaleureux de l’ame et du cœur subissent la loi immuable du tems, que l’homme devrait se prémunir contre l’isolement. L’isolement! triste et malheureuse destinée du vieillard, car ses goûts, ses habitudes, ses besoins ont changé. Aussi, une pension de vieillards réunissant toutes les conditions de bonheur que peut comporter un tel établissement serait un véritable bienfait pour la vieillesse, un asile de bonheur où l’homme, sur le déclin de la vie, pourrait voir luire encore quelques beaux jours, cueillir, à son hiver quelques fleurs. C’est ce qu’on peut espérer de la pension de vieillards que je viens d’établir au Mont-Saint-Aignan, où se trouve réunis la pureté de l’air, les soins, la sol- licitude, la douceur des procédés et l’aménité du caractère. On y trouve salle de bains, de billard, bibliothèque, journaux, jardins potager et d’agrément, où, suivant leurs goûts, les pensionnaires pourront cultiver les fleurs et les légumes. Une ferme de 43 hectares est attachée à cet établissement, et les pensionnaires, amateurs d’agriculture trouveront encore les agréments de la culture des champs, qu’ils pourront suivre avec autant de plaisir que d’intérêt. Un char-à -bancs transportera dans leurs familles et ramènera les pension- naires sans rétribution. Il sera à disposition pour la promenade moyennant une faible rétribution. Autant par le cœur que par intérêt pour la prospérité de mon établissement; le bonheur de mes pensionnaires sera toujours le but que je me propose d’at- teindre, car je suis pénétré de cette idée: pas de bonheur, pas de succès; trop heureux si un jour ma maison méritait d’être appelée l’Elysée des Vieillards. Le prix de la pension est modéré. On peut s’abonner au mois sans augmenta- tion dans le prix.
FELLACHER,
Fondateur d’une pension pour les vieillards, au Mont-Saint-Aignan.