théâtreThéâtreLa Bataille de Bouvines, ou le rocher des tombeaux,  F.Ferdinand Lalou &etPe René Périn, 1821
- Philippe AugustePhilippe-Auguste- « jeJe suis certain qu’un seul esprit anime mon armée, celui
de la fidélité. »
(On apporte un autel. Ph.Philippe-Auguste dépose son sceptre &et sa couronne.)– Généraux Français, sis’il estqqu’unquelqu'un dans vos rangs que vous jugiez plus digne
que moi de porter le premier diadème
du monde, je suis prêt à lui obéir.
Mais si vous ne m’en croyez pas indigne, suivez votre
Roi &et soyez sûrsûrs
que vous avez à défendre aujourd’hui vos familles, vos biens, votre honneur. »Réf. bibl.
- Philippe-Auguste punit un parricide en le faisant lier au tombeau de
son père. « Paraissez, divinités infernales ! »Réf. bibl.
Catherine de Médicis aux États de Blois, Lucien Arnault., Odéon, 1829
- Le Roi, à Miron « Ah ! cher docteur, combien vous affligez mon âme ! Dans le fond, Médicis est une bonne femme ! » Réf. bibl.
- Le Roi, (à Montaigne . . . . . . . . .[...] avec indépendance Vous souriez Monsieur ?
MontaigneJ’écris comme je pense Sire !Réf. bibl.
- Médicis - (Catherine de - ) à Montaigne Flambeau de la Patrie, on vous doit plus encore &et votre nom déjà noblement répété ira de bouche en bouche à la postérité.Réf. bibl.
- aprèsAprès la mort de Guise : Henri III. . .[...] de son crime il a subi la peine ...[...] au-dessus de nos lois un traître s’est placé sans le secours des lois, mon bras l’a renversé au salut de l’État j’ai dû ce sacrifice . . . . . . [...] dans une chaux brûlante que l’on jètejette à l’instant sa dépouille sanglanteafin que sur le sol témoin de ses forfaitsce qui reste de lui, disparaisse à jamais ! »Réf. bibl.