ThéâtreCharles le Téméraire ou le siège de Nancy, 1814, Pixérécourt
- - Deux soldats du Duc de Bourgogne.
Premier soldat :« Vous devriez modérer cette extrême sensibilité qui ne convient nullement à un soldat. » Deuxième soldat :« Je crois au contraire qu’elle ne peut que l’honorer quand elle ne nuit point à son devoir. »Réf. bibl. - Commynes (à Charles le Téméraire) :
« Conduis-toi de manière à ne point redouter le
jugement de l’équitable postérité
Faut-il donc que toutes vos actions sont soient
empreintes de sang ! N'est-ce donc
que sur des larmes et les débris des nations que vous voulez fonder le monstrueux édifice de votre grandeur ! »Réf. bibl.
- Pixérécourt avoue dans la Préface que Commynes n’était pas au siège de Nancy avec
Charles le Téméraire, mais qu’il « n’a pu résister au désir de mettre en scène
un historien aussi
distingué. » -
Nabuchodonosor, Anicet Bourgeois, Francis Cornu
- Un Hébreu veut immoler une fille de Nabuchodonosor « aux mânes de ses frères. »
Des femmes juives projettent de la faire échapper « aux hommes la mission de tuer, à nous femmes celle de compatir au malheur et d’arracher les victimes aux bourreaux. »Réf. bibl. - Voy.Massacres de Syrie,
SĂ©jour. Idoles des
Musulmans.
- Nabuchodonosor à sa fille « pour toi, je donnerais mon empire, ma gloire ! »Réf. bibl.
- Il porte dans un sachet suspendu Ă son cou la preuve que sa fille AbigaĂŻl
n’est point sa fille
légitime, c’est une déclaration de la Reine attestant qu’«Abigaïl
est le fruit d’un crime. »Réf. bibl.
Robespierre, ou le 9 thermidor, Anicet Bourgeois et Cornu, 1830
- Meda s’appelle Medal.Réf. bibl.
Diane de Poitiers ou deux Fous et un Roi, Desnoyer et Hyppolyte Raimbaut, 1833
- Saint-Vallier est averti par une lettre anonyme qu’il doit fuir
- « Vieux soldat, endurci dans les camps, j’ignorais la crainte : à présent, elle
m’est connue. » Réf. bibl.
Djenguiz-Khan ou la ConquĂŞte de la Chine, Anicet Bourgeois, 1837
- Landry, loustic parisien, ancien domestique de Marco-Polo, débite des facéties.Réf. bibl.