- [1]
- Littérature
(copieLa Reine Margot (Ă©d. LĂ©vy)
Scènegrands écrivainsAlexandre DumasScène - - « des flambeaux qui répandaient sur cette scène un jour
funèbre et vaillant.(p. 86)
- [2]
- - L’amiral ! l’amiral ! répétèrent à demi-voix tous les
témoins de cette terrible scène. » (la mort de Coligny -(p. 88)
- [3]
- - il est vrai que si cette scène se fût prolongée » (quand
Coconnas
arrive dans la chambre de Marguerite.)p. 93.
- [4]
- - Je m’avance sur le balcon, je vois d’abord une épée dont le
feu semblait Ă©clairer
toute la scène à elle seule. J’admire
cette lame furieuse.
J’aime les belles choses, moi !(p. 140)
- [5]
- - En vérité Madame il était temps, je ne puis le nier, et vous
êtes descendue sur le lieu de la scène, comme la
divinité
antique, juste Ă point pour me sauver la vie -p. 153.
- [6]
- - Marguerite permit à sa mère de contempler un instant ce
tableau qui faisait sur elle l’effet d’une tête de méduse.
(Henry IV endormi)p. 158.
- [7]
- - Il résulta de cette scène moitié dramatique, moitié burlesque
mais qui au fond ne manquait pas d’une certaine poésie
attendrissante - p. 198. (La Mole soignant Coconnas)
- [8]
- - ce soir-là qui était le lendemain du jour où s’étaient passées
chez maître René, les
scènes que nous avons racontées »p. 230.
- [9]
- - J’oubliais que ce n’était probablement pas moi qui suis destiné
Ă jouer la fin de
cette scène intéressante. ce cabinet -(p. 159)
- [10]
- - s’embusquer derrière le buisson le plus proche du lieu où allait
se passer la scène dont ils paraissaient désirer être les spectateursp. 186.
- [11]
- Coconnas qui au fond avait aussi grande envie que Lamole de mettre fin à cette scène dans laquelle
par la pente naturelle de son caractère, il s’était enfoncé plus qu’il n’eût voulu fit un
signe de tête et s’éloigna.(p. 204.)
- [1]
- Littérature
(copieLa Reine Margot (Ă©d. LĂ©vy)
Scènegrands écrivainsAlexandre DumasScène - - « des flambeaux qui répandaient sur cette scène un jour
funèbre et vaillant.(p. 86)
- [2]
- - L’amiral ! l’amiral ! répétèrent à demi-voix tous les
témoins de cette terrible scène. » (la mort de Coligny -(p. 88)
- [3]
- - il est vrai que si cette scène se fût prolongée » (quand
Coconnas
arrive dans la chambre de Marguerite.)p. 93.
- [4]
- - Je m’avance sur le balcon, je vois d’abord une épée dont le
feu semblait Ă©clairer
toute la scène à elle seule. J’admire
cette lame furieuse.
J’aime les belles choses, moi !(p. 140)
- [5]
- - En vérité Madame il était temps, je ne puis le nier, et vous
êtes descendue sur le lieu de la scène, comme la
divinité
antique, juste Ă point pour me sauver la vie -p. 153.
- [6]
- - Marguerite permit à sa mère de contempler un instant ce
tableau qui faisait sur elle l’effet d’une tête de méduse.
(Henry IV endormi)p. 158.
- [7]
- - Il résulta de cette scène moitié dramatique, moitié burlesque
mais qui au fond ne manquait pas d’une certaine poésie
attendrissante - p. 198. (La Mole soignant Coconnas)
- [8]
- - ce soir-là qui était le lendemain du jour où s’étaient passées
chez maître René, les
scènes que nous avons racontées »p. 230.
- [9]
- - J’oubliais que ce n’était probablement pas moi qui suis destiné
Ă jouer la fin de
cette scène intéressante. ce cabinet -(p. 159)
- [10]
- - s’embusquer derrière le buisson le plus proche du lieu où allait
se passer la scène dont ils paraissaient désirer être les spectateursp. 186.
- [11]
- Coconnas qui au fond avait aussi grande envie que Lamole de mettre fin à cette scène dans laquelle
par la pente naturelle de son caractère, il s’était enfoncé plus qu’il n’eût voulu fit un
signe de tête et s’éloigna.(p. 204.)