noteAntibes_066_f_053__r
5253.

Cours d’esthétique

Hegel

Bénard

Le beau

Hirt le fait consister dans le caractéristique

Goethe – dans l’expression

ce qu’on est convenu d’appeler le Bon goût n’ose s’attaquer aux gds effets de l’art.

il garde le silence quand les caractères extérieurs & accessoires

font place à la chose elle-même »
 30 .

il n’est pas nécessaire que l’objet de l’art soit vivant. Il ne doit même pas l’être puis

qu’il est destiné à satisfaire les intérêts de l’esprit & qu’il

exclut tout désir.
 32

Le Principe de l’ironie

a p r point de départ la philosophie de Fichte, qui pose

le moi, avant toutes choses

donc comme artiste, il n’y a que moi qui de sérieux

je dois regarder toutes les choses humaines comme

insignifiantes
( v  p. 60 & sq.)

l’art a son but en lui-même

puisqu’il a p r mission de représenter le vrai dans une

image sensible.

Le Beau

est la manifestation sensible de l’idée.

Il n’y a rien de plus beau que les enfants

parce qu’en eux toutes les particularités

(qui tendront plutard à la profession, aux habitudes

aux singularités du caractère) sommeillent encore

comme enfermées dans leur germe
( 124)


Jouffroy déclare qu’un enfant ne peut

être beau.

noteAntibes_066_f_053__v

L’art a p. destination

de représenter le réel comme vrai, c’est-à-dire dans sa

conformité avec l’idée

L’extérieur

doit s’accorder avec un fond qui soit en harmonie avec lui-même

Il rejette tout ce qui ne répond pas, dans la représentation

à l’harmonie de l’objet avec sa véritable idée. c’est

par cette purification qu’il produit l’idéal.
( 129)

L’idéal

est la réalité, retirée du domaine de l’accidentel. ( 130)

Les allemands

dans leur dégoût de la rhétorique française en étaient venus à un degré

d’énergie concentrée qui ne s’exprimait presque plus que par des

interjections.

Mais l’homme dans lequel se manifeste l’état pathétique doit

en être rempli, – & en même temps être capable de le développer

convenablement.
 221 .

Dans la détermination des caractères

un élément principal doit apparaître – mais il ne

faut pas exclure la fécondité & la vitalité. le champ doit être

laissé libre à l’individu p r s’exercer dans plusieurs sens.

Exemple de Roméo & Juliette et d’Achille, ils ont d’autres

passions que leur passion dominante
 229 & sq.

blâme la Phèdre de Racine

un véritable caractère agit par lui-même. Phèdre

a tort de se laisser conseiller

( 233).

noteAntibes_066_f_054__r
5354

Hegel  esth. 2.

L’art des jardins

est une modification de l’architecture - l’application de ses

formes à la nature réelle

on éprouve du dégoût à voir deux fois les jardins à

surprises, ponts, ruines, hermitages, urnes, temples

( 244 .

C’est le caractère des gds maîtres

de représenter la nature extérieure avec une vérité parfaite

« La détermination parfaite des choses nous les présente par leur s

côté individuel & vivant. Autrement ce n’est plus qu’une

abstraction qui contredit l’idée même de réalité extérieure qu’elle

est censée reproduire »
 257

L’extérieur

ne doit apparaître que dans son harmonie avec l’élément intérieur de la représentation.

Les déclamations morales



Les ... sur le luxe des arts, les dépenses qu’ils entraînent, ne

produisent leur effet qu’autant que l’homme fait un retour

sur les misères & les nécessités de la vie, ce dont l’art exige

précisément que l’on écarte la considération  » 
( 266)

L’histoire a été écrite en France

non p. la vérité historique en elle-même, mais en vue d’un

intérêt de circonstance, p. donner par exemple des leçons aux princes ou

faire la satyre du gouvernement

P r les Français, juger est la première affaire ( 285

L’exactitude historique

doit constituer l’élément subalterne& se plier au

fond. l’œuvre doit être vraie p. tous les temps & tous

les degrés de culture intellectuelle
( 287)

noteAntibes_066_f_054__v

l’élément extérieur ou historique

est le côté périssable des choses – nous devons chercher

à le rapprocher de nous dans les ouvrages d’art appartenant

à des siècles éloignés & même savoir le négliger dans

les œuvres contemporaines  »
 304 .

L’art impose à l’artiste

l’obligation d’effacer en lui-même les particularités qui

lui sont purement personnelles

aussi la manière ne doit se réserver que la partie extérieure

de l’œuvre d’art comme le seul champ où il lui soit permis

de s’exercer »
( 33 3 2).

––

Différence de la Trimourti indienne et de la trinité chrétienne

la 3e chaque personne de la trimourti est une face de Dieu. – dans

la tr. chrétienne, les 3 personnes sont chacune, Dieu
t. 2 p. 70 .

La séparation du fond & de la forme,

de l’élément physique & de sa personnification sous les

traits humains n’a pas lieu dans la mythologie grecque

nous ne trouvons ... nulle part cette expression ὁ θεòς

του ηλιου, της θαλάσσης. – Hélios est le soleil

comme dieu. Donc les dieux ne sont pas de simples

allégories de la nature.
 289

noteAntibes_066_f_055__r
5455.

Hg.   esth. 3.

Le sublime de Hegel

contraire à celui de Jouffroy.

L’existence absolue si elle était pure, affranchie de toute

détermination conduirait au sublime,mais dans l’idéal

classique l’esprit se réalisant & se manifestant sous une

forme sensible qui est son image parfaite, ce qu’il y a

de sublime se montre fondu dans sa beauté – & comme ayant

passé tout entier en elle. c’est là ce qui rend nécessaire

dans la représentation des dieux l’expression de la gdeur

& de la belle sublimité classique  »
( t  2  310)

V. p. 318-319

fort belles sur le sérieux que doit avoir l’artiste. il doit rendre

objectif ce qui est en lui & le manifester sous une forme

vivante. Sa personnalité doit s’absorber entièremt

dans l’objet.

t 3.

Les Français

cherchent la valeur de leurs œuvres dans la satisfaction des autres. c’est  principalemt

dans leur poésie dramatique que se remarque cette tendance

anecdote de la clairon qui dans Denys le tyran, au lieu de

faire au roi une demande importante se tourna vers le

parterre p. le consulter. ce geste décida du succès de

toute la pièce.
( 14).



eurythmie architecturale des grecs.
 91-92 .

L’église chrétienne

c’est la maison entièremt fermée. de même que l’esprit chrétien

se retire tout entier dans la conscience, de même l’église est

l’enceinte fermée où les fidèles viennent se recueillir

intérieuremt.

l’impression à produire est opposée à celle du

temple grec

noteAntibes_066_f_055__v

ouvert & serein– plus de portiques ouverts ni de galeries qui

mettent en communication avec le monde & la vie extérieure.



Le caractère le plus frappant, c’est le libre essor, l’élancement

en pointes formées soit par des arcs brisés soit par des lignes

droites.
( 132)

sens mystique

des nombres, dans l’architecture gothique, comme à la cathédrale

de Cologne parce que la conception encore confuse des idées rationelles

se contente facilement de ces signes extérieurs
( 140

Le problème de la représentation sculpturale

consiste en ceci : incarner dans la forme humaine

le principe spirituel dans sa nature à la fois générale & individuelle

mais non encore particularisée & subjectivement repliée sur elle-même

mettre ces deux termes dans une parfaite harmonie, en n’offrant

que les traits généraux & invariables de traits formes qui corres-

pondent à l’élément spirituel  & en écartant ce qui est

accidentel & passager, bien que la figure ne doivent pas

manquer d’individualité
( 189-190)

Pour comprendre la grèce

il faut l’envisager du point de vue de la sculpture. Tout y a le

caractère plastique à la fois général et individuel

le profil grec

appartient à l’idéal de la beauté absolue parce que ... c’est seulemt dans

cette conformation de la figure que l’expression de l’esprit refoule

entièremt l’élément purement physique sur un plan inférieur

– et en second lieu se dérobe le plus aux accidents de la forme
( 211).

les anciens représentaient les difformités

ouverture de l’oreille extrêment gde dans les bustes de Marc-Aurèle

id chez Hercule comme l’étaient celles des athlètes et des

pancratiastes.
( 219.)

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55 56.

H esth 4.

Sens de la pudeur

c’est de cacher les parties animales.

Quand la conscience spirituelle fut éveillée chez Adam & Ève ils

se vêtirent.
( 232-233)

L’habillement

doit être traité comme une œuvre d’architecture, comme l’enveloppe

dans laquelle l’homme doit se mouvoir librement ( 239

le manteau est comme une maison.



les vêtemts des anciens sont suspendus autour du corps libremt

et modifiés par sa pose qu’autant que cela leur est

nécessaire p r ne pas tomber.

L’habillement moderne,

au contraire est entièremt supporté par le corps & lui est

assujetti, de sorte que tout en exprimant de la manière la plus

saillante la position du corps, il ne fait que contrefaire les

formes des membres

─────────── –

s’en priver, autant que possible dans les statues-portraits, à

moins qu’elles ne soient de petite proportion
( 244)

les Formes virginales

dominent chez les déesses grecques. ceci constitue une opposition

entre l’art classique & l’art romantique où l’amour maternel

offre un des sujets principaux.
( 262).

La Vénus de Milon médicis , l’Apollon du Belvédère,

du temps de Winckelman  & de Lessing étaient

représentaient le plus h t idéal de l’art. – aujourd’hui on les

attribue à une époque tardive, qui n’est plus dans le style

sévère & pur. ( 274).

à propos du Laocoon



on s’est demandé si Virgile l’a fait d’après ce groupe ou

si le groupe a été fait d’après Virgile – si dans la sculpture

il convient de pousser un cri – questions oiseuses –
( 278)

Les groupes

perdent à être placés sur le sommet d’un édifice –

à cause du fond de ciel qui est changeant– les contours

ne peuvent être distingués nettement

noteAntibes_066_f_056__v

différence de la Vierge avec

Jésus & d’isis avec Orus

on ne voit ici ni mère ni fils – pas une trace d’amour, pas

un baiser ( v  R. Rochette cours d’arch. )



Le sens spirituel des Égyptiens est encore trop peu vif p r avoir

besoin de la précision d’une représentation à la fois vraie & vivante

La sculpture

antipathique à l’esprit chrétien ( 312 .

la peinture au contraire

est plus propre à exprimer ... exprimer les sentiments de l’âme, & en

même temps à représenter les particularités de la forme extérieure

libre, dégagée de sa dépendance de l’esprit
( 312).

Le but de la peinture

est de faire ressortir vivement & rehausser la vitalité de la nature

qui perce partout – & la sympathie caractéristique des modes de

cette vitalité avec les sentiments particuliers de l’âme humaine

dans les objets des paysages représentés.
( 392

Goëthe , à Dresde

s’était logé chez son cordonnier – sa joie de voir un intérieur d’ostade

« c’était la première fois que j’exerçai sciemment m’était révélée à un tel degré cette faculté que

j’exerçai sciemment ensuite, de voir la nature avec les yeux de te

ou tel artiste, aux ouvrages duquel j’avais pu donner une

attention toute particulière. » et la suite p. 423.

Les chrétiens grecs

représentent le Christ Crucifié, très affaissé, le bas-ventre enflé, la tête tombante 

les ... italiens

────────────── ont eu soin de le relever. Ils avaient p r but

l’idée de la victoire de l’esprit.
( 463.)

Dans les Sonnets de Pétrarque

Aucune pensée sérieuse ne s’adresse à l’objet dont il est question

L’expression elle-même est la jouissance. c’est le Jouir de soi-m

de l’amour, qui cherche sa félicité – c’est un désir qui se

satisfait comme désir.
( 466)

noteAntibes_066_f_057__r
56 57.

H   esth 5.

Giotto introduit le profane.

Les innombrables détails sur la vie des Saints qu’on glorifie par

la peinture introduisent refoulent en arrière le Christ & les apôtres – & le

profane entre dans la peinture.

T. IV.

La Poésie



doit exprimer l’image présente à l’esprit, la représentation intérieure

L’image, l’intuition, la sensation voilà les véritables

matériaux que le poète doit façonner artistiquement. Les sons & les

mots ne sont que l’accessoire
( 136).



ce n’est pas la chose en elle-même & son existence pratique

mais l’image qui est le but de la poésie

Les Maximes de Salomon, les vers dorés de Pythagore etc

peuvent à peine être appelés une

œuvre poétique – nous ne devons considérer comme œuvre

que d’art que ce qui est organiquement constitué. « cette loi

est p r la poésie de la plus hte importance »
 165 .

L’art oratoire



a un autre but que l’art. La forme n’est p r lui qu’un

moyen.

L’art p r l’art



« L’œuvre poétique n’a d’autre but que la réalisation du beau

& la jouissance qu’il procure. Le but & son accomplissement

résident donc dans l’œuvre d’art elle-même, comme

complète en soi, & par là indépendante »
 185 .

Le but même de l’orateur

détruit la liberté de la représentation & y substitue l’asservis-

sement à un but déterminé, qui n’a rien d’artistique  »

 186 .

dans la narration historique,

l’auteur ne doit rien déranger il faut qu’il

enregistre mille circonstances arbitraires. – cette transformation

est précisément le devoir de la poésie lorsque par son sujet

elle se rencontre sur le même terrain que l’histoire
 187

noteAntibes_066_f_057__v

L’art p. l’art.



si la poésie se préoccupe d’un but étranger, elle abandonne

la région libre & élevée où elle se montre dans son indépen

p r descendre dans celle du relatif & alors perce un désaccord

entre les exigences de l’art & d’autres intentions »
 189 .

Hegel se prononce formellemt contre tout but d’édificati

religieuse, morale, politique « d’autant plus que les autres bu

peuvent être atteints plus parfaitement par d’autres moyen

(

Le caractère de la pensée poétique

c’est d’être essentiellement figurée. Elle met sous nos yeux

non l'essence abstraite des objets mais leur réalité concrète.

 201

L’image poétique

nous offre la richesse des formes sensibles fondues immédiatemt ave

le sens intime & l’essence de la chose, de manière à former un

tout original.

La répétition des épithètes chez Homère Ach Hector au

panache brillant, Agamemnon le prince des peuples etc , a p

but de faire image.

Aux époques civilisées

La poésie a besoin d’une énergie préméditée p r se dégager des

habitudes abstraites de la pensée, &  p. ressaisir la virtualité conc

Le poète doit écarter

toutes les abstractions, les distinctions logiques & les catégories

de la pensée si elles se sont dépouillées de toute image sensib 

à plus forte raison les formules philosophiques du jugem

& du raisonnement.
( 210)

La rime

favorise l’idée & l’amène chez le vrai poëte.  219

le 1er ouvrage de St Augustin contre les Donatistes est presq

un chant rimé. rime chez Horace dans l’art poëtiqu

vers 99 & 100.

La poésie

est essentiellemt parlée. Elle doit donc être lue tout haut

( 258)

noteAntibes_066_f_058__r
5758

Hg   esth 6.

Les Grecs

n’ont pas de livres religieux, comme les Indiens, les Perses, les juifs

Homère a existé .

v  p. 276 . & 280.

« il n’y a qu’un seul homme qui puisse créer un tout

pareil. » l’opinion contraire est une conception barbare & qui

contredit l’opinion l’idée même de l’art. Si l’on veut dire par là

que le poète s’est effacé devant son œuvre c’est faire son plus bel

éloge.

Les Niebelungen

vouloir en faire qq chose de national & en qq sorte une bible populaire

c’est l’idée la plus plate & la plus triviale »
p  293 .

Pr qu’une guerre soit Épique

il faut qu’elle touche à l’Histoire universelle, aux destinées

du genre humain.
( 301)

Achille

va à l’encontre de la morale ordinaire qui est le sacrifice de soi-même

Mais son droit est de se développer avec toute son énergie puisque

dans son individualité, il représente qq chose de général : le

caractère grec.
( 312).

Critique

de l’Énéide & et des discours de tite-Live – comme artificiels. ( 322)

de la Messiade – de la Henriade  ( 325).

Les Eddas, les chants d’Esquimaux etc.

peu estimés d’Hegel. Il trouve qu’on a

exagéré leur importance historique – quant à leur valeur

artistique elle est nulle. « le champ des jouissances

poétiques n’en a pas été beaucoup aggrandi  »
t  V.  p  27 .

La chanson

naît & meurt comme le sentiment qui l’a fait naître ( 58).

noteAntibes_066_f_058__v
Art dramatique

L’unité de lieu -



n’est pas mentionnée par Aristote.& les poètes anciens

ne l’ont pas suivie. dans les Euménides d’Eschyle & l’Ajax

de Sophocle la scène change

l’unité d’action



seule importante, inviolable.

Toute action en général, doit avoir un but déterminé.

Critique du prétendu naturel ( 106).

c’est tomber dans le prosaïque : les caractères ne

développent pas la substance de leur âme & de leurs actions, mais

un ensemble de traits confus.
( 107)

La vérité poétique

consiste à écarter du caractéristique & de l’individuel la

réalité immédiate, à les élever à la généralité & à combiner

ensemble les deux côtés  » -
( 108)

Le public



il n’est pas rare que p r plaire parfaitement un certain talent

dans le mal & une certaine absence de pudeur sous le rapport des

pures exigences de l’art véritable, puissent être nécessaires »
( 114 .

Les Français, au dans leur théâtre,

ont montré de la prédilection p r les personnifications

simples & abstraites de types généraux, & de passions générales

plutôt que p r des personnages réellement vivants.

P r l’action dans la Tragédie (Aristote  poét.  c. 6.).

il existe deux sources la pensée & le caractère. Mais la chose

principale est le but : les personnage n’agissent pas p r représ

des caractères, mais ceux-ci sont conçus en vue de l’action

Aucune pièce de théâtre

ne devrait être imprimée – mais comme chez les Anciens

son ms devrait appartenir au répertoire du théâtre et

n’obtenir qu’une circulation tout à fait insignifiante

( 131.)

noteAntibes_066_f_059__r
58 59.

H   esth 7 .

incertitude de goëthe ,

dans sa vieillesse, sur le théâtre – « à cause de l’extraordinaire

confusion de notre goût à qui les choses les plus hétérogènes

peuvent plaire »
( 132)

Le chœur



est, en quelque sorte la scène spirituelle du théâtre antique

et on peut le comparer au temple de l’architecture classique

qui entoure la statue du Dieu
( 178)

Le comique.



n’est devenu comique, selon Hegel que quand les personnages

sont comiques p r eux-mêmes. – qu’autant qu’ils ne

prennent pas au sérieux le sérieux de leur but.
( 193)


Il me semble que c’est tout le contraire.

Aussi ne trouve-t-il pas comique l’Avare de Molière.