noteg226_2_f_185__r____

Essai sur l’Éducation des Femmes.

Ctesse de Rémusat 1824.

Aux abords de la Révolution « nombre de personnes crurent que tout allait se passer en

conversation.

les vieillards avouent « que ce temps de discussions légères sur des matières si importantes

fut le plus heureux temps de leur vie ». je l’ai ouï dire à Mr l’abbé de Montesquiou »
70.

après la révolution les femmes

devinrent sérieuses
« du sérieux, de l’imagination, de la sensibilité & point de principes, voilà les conditions du

genre romanesque. Il devint le genre de l’époque »
76.

alors on peignit des sentiments exaltés aux prises avec des situations fortes.

qque chose de religieux s’y allie aux désordres du cœur. - Me Cottin.
( 81.)

« si elle a p- son mari un attachement réel, mais sans enthousiasme, comment se

défiera-t-elle des illusions d... décevantes d’une sensibilité & d’une imagination,

qui peuvent devenir coupables, sans cesser d’être pures » ... un gd péril attend

celle qui croit que les impressions d’une âme bien née sont toujours des devoirs Il n’en est pas ainsi ; les femmes seraient trop heureuses. »
170.

une femme qui n’excite plus aucune émotion reste encore susceptible d’en éprouver

beaucoup.
( 189.)

« nous ne rencontrons plus auprès du lit des malades ni dans les boudoirs des belles

dames le Purgon du Malade imaginaire, ni le docteur musqué du Cercle »
211
qu’est-ce que le Cercle ?