| Fragments et références bibliographiques exactes |
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[n°1]
Lettre découragée. (p 345). il est menacé de perdre la vie. « J’ai peut-être qque mérite à ne pas me manquer à moi-même »
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 2. - p. 344.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°2]
Nullité des liens du sang. (357.) « le gd lien de l’humanité, c’est la bienveillance ce sont les bienfaits : c’est l’amour ».
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 2. - p. 357.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°3]
« dis donc à ton médecin que la contraction naturelle de ton cœur est prodigieusemt forte dans les paroxysmes de la douleur & les convulsions du plaisir de l’amour. (371) tu m’as qqfois soulevé par un seul effort de ce muscle extraordinaire ». Chateaubriand (mém. d’outre tombe) dit que son cœur repousse la table où il écrit.
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 2. - p. 371-372.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°4]
il s’exerce à écrire les yeux fermés pr pouvoir écrire à Sophie quand il sera aveugle. (t 3. p 7)
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 7.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°5]
fort peu d’estime p- Voltaire (26).
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 25-26.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°6]
misère - se passe de linge - marche les pieds nus dans ses souliers - Maladie de vessie. (46.)
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 46.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°7]
« J’ai été presque jaloux de mon portrait que tu pressais contre tes lèvres & ton cœur avec trop d’ardeur (105)
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 105.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°8]
veut un traité de commerce entre la France & l’Angleterre.
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 118.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°9]
Conduite de Mirabeau père envers sa famille. (172). 53 lettres de cachet contre elle.
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 172.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°10]
A donné un soufflet à sa femme parce qu’elle lui avait dit « que sa mère & sa sœur sont des putains » - Me de Mirabeau l’avait fortement cocufié. il en a des preuves écrites.
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 355.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°11]
est jaloux d’un monsieur qui lui fait des visites à son couvent — (388)
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 388.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°12]
il se plaint qu’on ait soustrait à la sévérité des lois Ragny, Sades & Montboissier tandis que lui etc. (403).
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 403.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°13]
« Je ne crie jamais dans la colère. Je renverserais un mur, je mordrais des boulets rouges, mais je ne crie point. Au reste, ces convulsions violentes dont aucun homme sensible ne s’est jamais totalement préservé sont très rares en moi & me font un très gd mal »
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 450.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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[n°14]
On lui avait fait des menaces d’assassinat. 507.
Référence exacte :
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres Ă Sophie - t. 3. - p. 507.
Dans: Lettres Ă Sophie - 1792
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Cote Antibes - vol. 047 - f°001 - Verso - 
f°002 - Recto | f°001 - Recto