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Le dieu de l’art romantique au contraire est un dieu
qui voit et qui ouvre les profondeurs de
sa nature intime.RĂ©f. bibl.
- De ce principe de la subjectivité absolue,
Dieu lui-même se fait homme ; sa vie, sa naissance, sa
mort, sa résurrection manifestent à la
conscience individuelle la destinée de
l’esprit, la
nature de l’éternel, et l’infini dans sa
vérité.Réf. bibl.
- 2° L'homme doit ressembler à Dieu, dépouiller sa nature finie,
devenir ce que Dieu, dans sa vie mortelle, a
donné
à contempler comme la vérité même.
Cette idée du sacrifice trouve ici sa place pour la première fois.Réf. bibl.
- « Chez les Grecs, on ne peut pas dire que la mort ait été comprise dans sa signification essentielle ; le corps et l’âme, dans leur union actuelle, n’étaient pas regardés comme une existence négative. Aussi, la mort n’était qu’un simple passage à un autre mode d’existence, sans effroi, sans terreurs. C’était une terminaison naturelle sans autres suites incommensurables pour l’individu mourant. » Mais ici c’est une mort de l’âme qui peut se trouver exclue pour toujours du bonheur, être malheureuse pour toujours du malheur éternel. Réf. bibl.