Cours d’esthétique, Hegel, éd. Bénard
- 5253.Le beau
- Hirt le fait consister dans le caractéristique,
Goethe, dans l’expression.Réf. bibl.
- « Ce qu’on est convenu d’appeler le bon goĂ»t n’ose s’attaquer aux grands effets de l’art ;Â
il garde le silence quand les caractères extérieurs et accessoires
font place à la chose elle-même. » (p. 30)
- Il n’est pas nécessaire que l’objet de l’art soit vivant. Il ne doit même pas
l’être puisqu'il est destiné à satisfaire les intérêts de l’esprit et qu’il
exclut tout désir. (p. 32)
- a pour point de départ la philosophie de Fichte, qui pose
le moi, avant toutes choses.RĂ©f. bibl.
- Donc comme artiste, il n’y a que moi de sérieux,1
je dois regarder toutes les choses humaines comme
insignifiantes. (v. p. 60 et suiv.)
- puisqu’il a pour mission de représenter le vrai dans une
image sensible. RĂ©f. bibl.
- est la manifestation sensible de l’idée. Réf. bibl.
- parce qu’en eux toutes les particularités
(qui tendront2 plus tard Ă la profession, aux habitudes,
aux singularités du caractère) sommeillent encore
comme enfermées dans leur germe.(p. 124)
Jouffroy déclare qu’un enfant ne peut être beau.