Cote g226 - vol. 5 - f°174 - Verso - 
f°175 - Recto | f°175 - VersoEt sa face de bronze était carrée par la base, de larges méplats octogones, vigoureusement
accentués habitaient l’énergie farouche de sa nature sauvage, ses yeux de feu dévoraient
l’espace, ils étaient à la fois saignants et bistreux
Divers (style contemporain)
X Œuvres Posthumes du Docteur charles Lefevre. imprimerie Lenormant.
le Violon de Tircis.
X Il y en a qui aiment la vie à deux, il aimait la vie à un
j’oubliais : il (David) avait un ami.
Léonard de vinci le maître des maîtres aimait son violon comme sa palette.
Apollon n’eut pas tenu l’archet avec plus de grâce et plus d’inspiration.
ce violon était le chef d’œuvre de Gaspard Duiffoprugar, le célèbre luthier, au
nom barbare Benevenuto Cellini y avait ajouté un manche d’argent ciselé
dans ses meilleurs jours, et raphaël dans le parnasse du Vatican, le seul
Parnasse habitable pour les dieux et pour les poètes représenta apollon jouant
du violon – avec le violon de Léonard de Vinci.
– Hoffman a compris l’âme du violon comme le vieux maître de l’école de
florence. quand il a écrit les joies douloureuses de Crespel.
David l’a compris aussi et son ami c’était son violon, — ami sérieux qu’il n’a
jamais permis de railler – ami de tous les instants, confident de toutes les joies et
de toutes les douleurs.
X note – le violon qui est la ligne en musique a pareillement passionné
Mr ingres qui pardonna aux coloristes ; à la condition qu’ils reconnaissent son talent
l’archet à la main — — Arsène Houssaye —
la Peinte française David (Revue de Paris Mars 1852
. coloristes
des cambrures truculentes et un faire d’une énergie extraordinaire
20 octobre Presse – T. Gautier promenades d’été Malte