Les Philosophes français au XIXe siècle, Taine, 1860
- L’existence de
Dieu
- établie par des preuves différentes selon les philosophies :
Descartes rejetait l’argument des causes finales
Leibnitz celui que Descartes tirait de l’infini
Kant toutes les démonstrations, excepté, celle qu’il découvrait dans la loi morale. Résumé de Condillac
- Voy. Discours sur le raisonnement de Laromiguière. (p. 16)
- est une hallucination vraie = à l’occasion d’une
sensation naît un simulacre que
nous prenons pour l’objet, dont la naissance coïncide avec
lui. Malebranche a raison. (p. 43)
- On ne le lit pas, quoi qu’on dise. (p. 52)
- « Personne ne peut lire Boileau, sinon Ã
titre de document historique. » (p. 104)
- c’est un ravissement que de penser. » (p. 124)
- (morale) de Cousin. (p. 140)
- (p. 152 et suivante)
- Moment où il cesse de croire. (Beau morceau.) (p. 204)
- La philosophie est toujours la fille de la religion. Les Méditations, le Vicaire Savoyard
et les théodicées modernes ne font que traduire pour un autre siècle et dans un
autre style, le Monologium et le Proslogium de saint Anselme. (p. 218)
- (p. 228 et suivante)
- de Hegel et de celle de Jouffroy. (p. 233)
- ψ (p. 268 et suivante). Les révoltes du
cœur ne sont pas une preuve de l’immortalité.
il n’y a pas de - exemple du bœuf. (p. 268 et suivante) Charlatanisme patriotique de Cousin en 1815 (p. 297)
- « Une philosophie née à l’ombre des délices de Versailles. »
- pour Beyle - qu’il préfère à Hugo et à Balzac. (p. 307)
- n’est pas une chose distincte. L’étendue est une portion du tout
qu’on appelle matière,
l’éclat une portion du tout qu’on appelle soleil, la jouissance la
pensée des portions du moi. (p. 246)
- ψ « En créant un être Dieu a eu quelque but en vue. » Vous
n’en savez rien - Le chien est créé pour nous servir,
les fleuves pour nous abreuver, etc. (p. 273)
- « Le groupe de faits principaux qui constitue un être est le bien de cet être. » (p. 277)
Grands Hommes
Sot jugement de Taine