fermer

f°034 - Verso | f°035 - Recto  << Cote Antibes - vol. 066 - f°035 - Verso -  >> f°036 - Recto | f°036 - Verso

Cote : Antibes_066_f_035__v | ID_folio : 3684 | ID_Transcription : 3681 | ID_Image : 14565
dans un but immoral, pour tromper.
formes mixtes mélange de la forme animale et
de la forme humaine – mais l’animalité est là comme
qq
chose d’inférieur à l’esprit, de dégradé (en Égypte
le bouc Mendès est vénéré comme Dieu, il représente le
principe générateur de la nature & principalement le soleil.


Faunes – mais sauf les petites oreilles, les cornes et les pattes
tout le reste appartient Ă  la nature humaine

partout donc, selon Hegel, la forme animale est
employée p r exprimer ce qui est mauvais en soi, et
méprisable tandis qu’ailleurs elle était l’expression du bien
et de l’absolu.

II. Combat des anciens et des nouveaux Dieux

Le second progrès de l’art classique c’est que les Dieux
se manifestent avec les mĂŞmes attributs la conscience et
la volonté, comme puissances spirituelles. – ils apparaissent
sous la forme humaine, non seulement la forme extérieure
mais en tant que le fond lui-même est l’homme et
sa nature intime, comme hommes eux-mĂŞmes, comme
personnalités.

C’est la vraie personnalité qui constitue

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

Page de notes de lecture

Si vous avez relevé une erreur de transcription ou de normalisation, si vous pensez avoir déchiffré un mot illisible, prenez contact avec nous :