- [1]
- Voltaire
- En proclamant Voltaire un grand homme, on se
trompe. Il n’était qu’un grand égoïste qui a été merveilleusement servi par les
circonstances.Les gloiresGloires du Romantismeromantisme., 1859
- [2]
- [Voltaire]
- []
- C’est dommage qu’il ait donné dans le Newtonianisme
qui est une mauvaise physique réprouvée par tous les
bons philosophes de l’Europe.Desfontaines., Observ.Observations, T.Tomet. XV., p.pages 45 &et 73 dans
Ch.Charles Nisard., Les ennemis de Voltaire
- [3]
- [Voltaire]
- Voltaire était déiste, et il l’était parce qu’il aimait
les douceurs de l’opulence et
qu’il craignait de les
perdre.T.Tome II., p.page 305,
Alph.Alphonse Rabbe., Album d’un pessimiste
- [4]
- [Voltaire]
- Voltaire fûtfut l’homme de la bourgeoisie et de la bourgeoisie seulement ; il n’aima pas assez
le peuple.L.Louis Blanc., Hist.Histoire de la Révol.Revolution fsefrançaise (Préface)
- [5]
- [Voltaire]
- (Voltaire) décolorant la poésie sublime du christianisme pour
faire sans foi de la prose païenne.Le Pèrepère Enfantin
- [6]
- [Voltaire]
- Si nous avions soin de le mesurer Ă la mesure du XVIIIe
siècle qui est le pied de roi, il
(Voltaire) nous paraîtrait de taille assez médiocre.P. J.Pierre-Joseph Proudhon., Du principe de l’Artl'art
- [7]
- [Voltaire]
- Voltaire, adroit plagiaire qui eûteut l’art d’avoir l’esprit
de tous ses devanciers et qui ne montra d’originalité
que dans la finesse de
ses flagorneries ; écrivain scandaleux qui pervertit la jeunesse par les leçons d’une
fausse philosophie et dont le cœur fûtfut le trône de l’envie, de l’avarice, de la malignité, de la vengeance, de la perfidie et de toutes les
passions qui dégradent la nature humaine.Marat., Àà propos du Panthéon