Libre arbitre - démence : monomanie homicide
- « MrMonsieurM. Esquirol a vu un homme à peine aliéné qui s’imaginait voir un
cochon
toutes les fois qu’il voyait un hommeindividu quelconque. Il était pris de rage subite
&et voulait le tuer. »
- Léger, fut pris de l’envie vague &et irrésistible de tuer « il fuit le monde, la
société, tout fut inutile - Il quitte la
maison paternelle, se réfugie dans les bois
mène la vie d’un sauvage &et s’enfuit à l’approche de ses semblables. un jour, il
aperçoit une jeune fille endormie.
son penchant l’entraîne. il lui met une corde
au cou, la traîne dans sa caverne, l’égorge lui
déchire les entrailles boit son
sang &et mange son cœur » -
- Papavoine.
- « nous avons vu à Paris un jeune poète qui s’enferma dans une maison de santé.
prpour se soustraire à cette influence. Il exerça une tentative d’homicide sur un gardien de
la maison. &et finit par devenir complètemtcomplètement fou.
- « une mère accouchée depuis dix jours avait les yeux fixés sur son enfant au berceau
&et est prise tout à coup par le désir de le tuer, désir qu’elle ne peut vaincre qu’en
sortant précipitamment de sa chambre.
- Histoire d’Henriette Cordier. développa une épidémie de monomanie homicide. « on vit
des
femmes, des filles, des mères prises tout à coup de l’instinct féroce de tuer
leurs enfants.
»
- « un individu fut pris dès la plus tendre enfance d’un besoin effréné de manger de la viande pourrie, &et surtout de la chair humaine putréfiée. ce besoin s’accroît avec l’âge : &et sans faim, sans appétit cet homme sortait pendant la nuit, allait dans les cimetières, déterrait les cadavres &et là se repaissait de cet horrible aliment. Il avait surtout une prédilection prpour les entrailles » x lesAndral. cours de pathologie médicale (ttomet. 3. p.pages 210-212)