Considérations sur la Révolut.Révolution Françaisefrançaise, MeMadame Mme de Staël
- Souverains. charlatanismeCharlatanismeÂ
- Bonaparte causant avec le muphti dans la gdegrande pyramide
voy.voyezVoy. dialogue.IVe partie, ch.chapitrechap. Ier.
- Les directeurs en costume romain. –
Talleyrand disant que B.Bonaparte chérit Ossian (vvoirv.p.page 399.) parce que « ses poésies détachent de la terre ».
- fragmentsFragments du Catéchismecatéchisme impérial.(p.page 416)
- Si on allègue, comme preuve de l’excellence de la légitimité son antiquité, on peut
soutenir par la même raison, l’esclavage
le servage, la torture.RĂ©f. bibl.
- Sans la NatureNation on ne peut rien., avec elle on peut tout.RĂ©f. bibl.
- Tout change &et on voudrait que la royauté seule ne changeât pas.Réf. bibl.
- Les privilégiés étaient autrefois contre les rois, servaient de limite. depuis que la
nation s’est mis à leur place, ils se sont
ralliés à la prérogative royale &et regardent toute opposition comme une rébellion.Réf. bibl.
- L’EmpereurL'empereur Alexandre subit comme tous les amis de la liberté la défaveur de la « bonne compagnie
européenne »(p.page 454)
- laLa France subit le joug des étrangers prpour ne s’être pas affranchie elle-même de celui de Bonaparte.Réf. bibl.
- MrMonsieur M. de Talleyrand mit en avant le principe de la Légitimitélégitimité p-pour servir de point de ralliement au nouvel esprit de parti
qui devait régner en France.Réf. bibl.
- Les royalistes considèrent les services que les constitutionnels leur ont rendus comme un commencemtcommencement d’expiation.Réf. bibl.
- La dĂ©claration de St OuĂ«nSaint-Ouen en 1814 contenait presque tous les articles garants de la LibertĂ© que Necker avait proposĂ©s Ă
Louis XVI en 1789 avant le 14 juillet.Réf. bibl.
- Louis XVIII ne pouvait rétablir l’ancien régime. ilIl n’avait pas p-pour lui l’armée - &et les prêtres n’ont plus d’influence.Réf. bibl.
- d’autresD'autres disaient qu’il fallait ménager les intérêts de la révolution, p-vupourvu qu’on anéantît ses principes.Réf. bibl.
- Les lettres de noblesse datent de Philippe Lele Hardi. Elles avaient p-pour objet principal l’exemption des impôts.Réf. bibl.
- Les adversaires des constitutionnels s’entendent mieux avec les bonapartistes, parce qu’il n’y a que le nom
du maître à changer
prpour les mettre d’accord.Réf. bibl.
- Quand on oblige un homme du parti populaire à sacrifier sa popularité il n’est plus bon à rien au nouveau
parti qu’il embrasse(p.page 466)
- Le premier article des droits de l’homme en France, c’est la nécessité p-pour tout Français d’occuper un emploi public.(p.page 468)
- L’étiquette est en contradiction avec les mœurs &et l’opinion du siècle. – Les Princes ne sortent pas d’un cercle étroit.Réf. bibl.
- « ilIl n’y a que deux forces à compter dans le pays : l’opinion qui veut la liberté &et les troupes étrangères qui obéissent à leurs
souverains. toutTout le reste n’est que bavardage.(p.page 475)
- « uneUne restauration est d’ordinaire la plus dangereuse &et la plus mauvaise des révolutions » Charles Fox.(ididemid.)
- Les royalistes ont fait un dogme de la Politique - &et ont en lui une confiance aveugle. – Ils se fient comme les Turcs
au triomphe de leur foi.(p.page 478)
- On est un factieux si l’on redoute l’influence des prêtres dans les choses de ce monde.Réf. bibl.
- Mandement de l’évêque de troyesTroyes – aumônier de l’Empereur. curieuxCurieux comme platitude. (p.page 530)
leLenom de l’évêque. - Les épicuriens de nos jours voudraient que les lumières améliorassent l’existence physique sans exciter le développement intellectuel.(p.page 535)