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Cote : Antibes_066_f_044__v | ID_folio : 3702 | ID_Transcription : 3699 | ID_Image : 14619
le principe divin ne doit pas être compris comme placé
en dehors de l’humanité mais en elle– Dès lors donc
un anthropomorphisme dont la base est la personnalité
humaine sous sa forme véritable.

II. l’esprit a conscience de sa nature absolue et infinie
par là. il est indépendant et libre – d’où s’en suit
la négation du fini & du particulier.

il n’y a plus
qu’un dieu unique manifesté dans la nature et
dans l’homme comme principe de vie. Dès lors
l’homme réel étant la véritable manifestation de Dieu
l’art obtient le droit plus élevé d’employer l’existence
humaine et en général les formes du monde sensible
p r exprimer l’absolu.

L’homme, sa nature intime
acquiert dès lors un prix extrême – les dieux grecs
n’expriment pas l’esprit dégagé de la matière et
parvenu Ă  la connaissance de lui-mĂŞme, la vraie
personnalité, à savoir la conscience nette de
soi-même n’y est pas. à l’extérieur ce
défaut se traduit ; l’œil n’y est pas.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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