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Cote : Antibes_066_f_055__r | ID_folio : 3722 | ID_Transcription : 3719 | ID_Image : 14679

Hegel, Esthétique, 3

5455.Le sublime de Hegel contraire Ă  celui de Jouffroy
L’existence absolue, si elle était pure, affranchie de toute détermination, conduirait au sublime ; mais dans l’idéal classique l’esprit se réalisant et se manifestant sous une forme sensible qui est son image parfaite, ce qu’il y a de sublime se montre fondu dans sa beauté – et comme ayant passé tout entier en elle. C'est là ce qui rend nécessaire dans la représentation des dieux l’expression de la grandeur et de la belle sublimité classiques. (t. 2, p. 310)
V. p. 518-519
fort belles sur le sérieux que doit avoir l’artiste. Il doit rendre objectif ce qui est en lui et le manifester sous une forme vivante. Sa personnalité doit s’absorber entièrement dans l’objet. Réf. bibl.

T. 3

Les Français
cherchent la valeur de leurs œuvres dans la satisfaction des autres. C'est principalement dans leur poésie dramatique que se remarque cette tendance. Anecdote de la Clairon qui dans Denis le tyran, au lieu de faire au roi une demande importante se tourna vers le parterre pour le consulter. Ce geste décida du succès de toute la pièce. (p. 14)
Eurythmie architecturale des Grecs. (p. 91-92)
L’église chrétienne
c’est la maison entièrement fermée. De même que l’esprit chrétien se retire tout entier dans la conscience, de même l’église est l’enceinte fermée où les fidèles viennent se recueillir intérieurement.
L'impression à produire est opposée à celle du temple grec

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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Titre de la page : Hegel, Esthétique, 3

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