- L'homme sauvage plus agile que l'homme civilisé, oui, plus fort non. unUn ouvrier anglais écraserait
dans sa main celle d'un sauvage.
- [*Assertion]
- Dans cet Ă©tat l'homme n'a guĂšresguĂšre Ă craindre des bĂȘtes fĂ©roces
qui le redoutent bientÎt. « lesLes Caraïbes de Vénézuela vivent
entr'autresentre autres à cet égard dans la plus profonde sécurité et sans le
moindre inconvénient. quoiqu'ilsQuoiqu'ils soient presque nus, dit François
Corréal, ils ne laissent pas de s'exposer hardiment dans les
bois, armés seulement de la flÚche &et de l'arc mais
on n'a jamais
ouĂŻ dire qu'aucun d'eux ait Ă©tĂ© dĂ©vorĂ© des bĂȘtes ! »RĂ©f. bibl.
- [*Assertion]
- pasPas
d'infirmités. : « la vie sauvage éloigne d'eux (les vieillards) la goutte
&et les rhumatismes. » Ceci est Ă
vérifier. Réf. bibl.
- [*Assertion]
- peuPeu de maladies :
elles sont développées &et causées par la civilisation. siSi
elle (la nature) nous a destinĂ©s Ă ĂȘtre sains j'ose presque
assurer que l'état de réflexion
est un Ă©tat contre nature
et que l'homme qui médite est un animal dépravé. Réf. bibl.
- « onOn ferait aisément l'histoire des maladies humaines en suivant celles des sociétés civiles. » Réf. bibl.
- chezChez les animaux
il y a peu d'infirmes et les blessés se guérissent rapidement.Réf. bibl.
- [*Assertion]
- Dans nos maisons les animaux s'abĂątardissent et
s'affaiblissent -. laLa mĂȘme marche a eu lieu prpour l'homme.
lesLes premiers hommes ne souffraient donc pas du défaut
d'habitation, de
vĂȘtement, etc. « leLe premier qui se fit des habits ou un logement se donna, en cela, des choses peu
nécessaires,
puisqu'il s'en était passé jusqu'alors et on
ne voit pas prquoipourquoi il n'eût pu supporter, homme fait,
un genre de vie qu'il supportait dÚs son enfance. »Réf. bibl.
- Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la volonté - et surtout la perfectibilité, source de ses vertus et de « Ses désirs ses vices. l'homme sauvage « sesSes désirs (à l'homhomme sauvagsauvage) ne passent pas ses besoins physiques » ... « jamaisJamais l'animal ne saura ce que c'est que mourir ; et la connaissance de la mort &et de ses terreurs est une des premiÚres acquisitions que l'homme ait faites ... en s'éloignant de la condition animale ». (p.page 73)