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- qu’on ne peut labourer avec ces
charrues. Qu’est-ce que
ces outils-lĂ Â ? diront-ils, on ne
peut pas seulement
appuyer un brin sur les mancheriots, c’est
vétilleux en diable, il n’y a pas moyen de
les
tenir Ă raie
comme nos charrues ; ça entre,
ça sort sans qu’on puisse
tenir l’entrure1  !
Parlez-nous des charrues Ă
rouelles, à la bonne heure !
- (J’ai eu à combattre moi-même toutes ces objections et
je n’ai
pu faire employer les araires qu’en démontrant
aux charretiers,
mancherons en main, la manière
de les manœuvrer.)Réf. bibl.
- Il faudra donc abandonner ces instruments, les
mettre sous la
remise et en revenir Ă ceux de la
contrée ; tous les ouvriers
abandonnant la ferme plutĂ´t
que de se soumettre au progrès.
Il
en sera de mĂŞme des autres instruments, herses,
scarificateurs,
extirpateurs, etc., qui seront, à première
vue, déclarés défectueux ;
rien n’est plus enraciné que
la routine des ouvriers
agricoles.RĂ©f. bibl.
- Vers cette époque, on voit apparaître dans quelques fermes des machines à battre le grain. Dans les environs de Paris et des grands centres où les ouvriers agricoles deviennent rares, on commenceRéf. bibl.